Présentation

Votre serviteur

Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

PS : les illustrations des textes ou articles sont propriété de leur auteur et sont en général taggées de leur nom lorsque disponible. M'informer des corrections ou compléments éventuels et me signaler tout problème SVP.

Vous allez découvrir :

Récits érotiques

Mercredi 3 juillet 3 03 /07 /Juil 17:49

Scénario masseur …

 

Nous pourrions commencer le jeu une heure avant de nous retrouver.... par sms que je lirai en roulant sur l'autoroute.

 

Vous :

Je vous écrirai des mots érotiques pour que votre désir monte lentement...

Je suis arrivée depuis quelques minutes  et je me suis apprêtée fébrilement. Escarpins, corset, bas ... Mes jambes sont douces comme de la soie et ma gorge, à chaque inspiration,  se soulève lentement de leur balcon de dentelle, telle une offrande généreuse.

Je jete mon manteau de fourrure sur l'ensemble et je suis prête : je vous envois un ultime SML, tel un SOS sensuel : "je suis à vous ..."

Vous allez monter, je m'assoit sur le lit, un peu raide, le coeur battant (et si ...).

Aveugle j'attends.

Le parquet grince un peu, le loquet cliquette et la porte s'ouvre ...

Vous entrez ...

Je retiens involontairement ma respiration ...

 

Moi :

J'entre dans cet appartement aux odeurs de bois et de feuilles. Au milieu de ce décor canadien, la lumière est douce, légèrement tamisée par les voilages.

Je m'approche un peu, je sens sont parfum, son odeur.

Je m'approche encore,

Je la regarde, je l'admire : elle l'a fait !

Je m'assois près de vous, sans rien dire, vous me sentirez tout près , mais ne pourrez me toucher puisque vos mains doivent se retenir...

Avant de poursuivre, j'aimerais effleurer votre corps du bout des doigts, découvrir votre peau.... vous faire frissonner...

Vous ne bougerez pas, ne direz rien ou si peu et vous demeurerez aveugle.

Seuls les gémissement et les soupirs seront tolérés pendant cette première heure de découverte.

 

Vous :

Je frissonne en effet, autant du fait des caresses de vos yeux que du (bon) stress qui m'habite.

Je suis assise,  vous êtes tout proche au point que je sente votre chaleur et que je devine votre odeur.

Vous faites glissez mon manteau de mon épaule gauche, puis de la droite et celui ci s'effondre dans mon dos, révélant les trésors que j'ai préparés pour vous.

Votre main se pose sur mon épaule, légère, aérienne, mais si impérieuse.

Elle caresse mon épaule, remonte vers la nuque et parcours mon dos.

Vos ongles surtout me font tressaillir, ils agacent mon épiderme de trés lègères griffures sur les flancs qui me font sursauter.

Qui êtes vous ? Etes vous bien seul ? Ne suis-je pas un peu folle de me livrer à vous et à vos désirs quasi nue, aveugle et seule ?!

Le scénario écrit va t il être tenu ?

Vous êtes entré, tout paraît "normal".

La porte s'est refermée et je ne devine que votre bienveillante présence.

Vous me faite lever, je vous vos yeux parcourir mon corps, s'arrêter au creux de mes reins, plonger entre mes seins. je suis à la fois anxieuse et heureuse ...

Un flash se déclenche .. une photo ... il n'a pas pu s 'empêcher de saisir cet instant de grâce, je m'y attendais un peu ...

Vos mains recommencent un ballet d'effleurements, je ne sais plus où elles se trouvent ... Sur ma joue, ma cheville, la tendre chair de l'intérieur de mes cuisses ou le tendre duvet du creux de mes reins.

 

Puis l'effeuillage commence,

lent,

terriblement lent,

les agrafes sautent, les dentelles crissent, les mains caressent au passage , les paumes flattes les courbe, mes jambes en flageolent, de temps à autre une pause est marquée et je sens votre regard amicale caresser ma peau et l'appareil photo se déclencher.

Je suis nue, ou presque,  enfin ... Seul un ultime rempart de dentelle voile mon intimité.

Vous vous êtes accroupi, sans doute êtes-vous à genoux devant moi comme en prière.

Vos mains se posent sur mes hanches, deux doigts se glissent sous la dentelle au dessus de mes fesses et tirent lentement vers le bas le délicat tissu. Vous prenez votre temps, découvrant patiemment mes fesses. Vos mains lachent prise et reviennent sur les aines, saisissent délicatement le tissu, le tendent vers vous et tirent de nouveau lentement vers le bas, révélant progressivement mon bas ventre. Je sens votre souffle sur ma peau, je devine votre émotion par le léger tremblement de vos mains.

Le début d'un petit rectangle de poils soyeux apparait, délicatement vous en baisez le sommet par surprise, me faisant sursauter d'avoir senti  votre bouche si proche.

Le tissu descend un peu plus dévoilant le délicat sillon fermé de mon coquillage.

Mais vous vous ravisez, et je devine vos mains remettre en place le fin voilage soyeux

 

Quasi nue, je suis debout dans cette pièce que je connais à peine, avec vous , un homme que je ne connais presque pas ...

il me prend délicatement par la main et m'avance prés du lit, je m'allonge sur le ventre avec douceur.

j'entends des bruits de vêtement, vous vous déshabillez ou peut être vous mettez-vous simplement à votre aise ? Je ne sais pas encore.

 

Il pose de petites choses sur mon dos, de quoi s'agit il ?

Les choses sont posées tranquillement sur mon dos, une à une.

Le matelas bouge et je devine que vous vous agenouillez sur le lit.

Vos lèvres frôlent le bas de mon dos à la limite du profond sillon qui séparent ma chute de rein,  elle semble vous plaire, même si vous savez que moi, je ne l'aime pas trop.

 

Une langue douce et chaude, tournoie autours de sa proie mystérieuse et happe avec un délice manifeste ce premier objectif inconnu sur mon dos.

Vous croquez quelque chose, celà semble bon ...

Je sens le souffle tiède de votre respiration, les caresses de vos cheveux sur mon dos qui m'électrisent.

Les autres "choses"subissent peu à peu le même sort, mais avec une lenteur qui me met au supplice.

Votre bouche est maintenant prés de mon cou.

Elle baise subrepticement ma peau et se promène d'un bord à l'autre, soufflant son humide tiédeur dans une oreille, émettant un petit mhhhh de chat ronronante. Votre parfum, votre odeur m'enivre soudain d'un désir animal.

Mon imagination s'affole, vous imagine à moitié nu allongé sur moi.

 

Et moi qui ne doit toujours pas bouger ou prendre l'initiative.

Je fonds.

Vos mains viennent alors à la rescousse de vos lèvres.

Que vont elles me faire subir ?

 

L'huile tiède tombe sur mes mollets  : c'est donc celà ...

Vos mains entament un lent massage.

Je les sens remonter petit à petit vers le creux délicatement sensible du genou, parcourir mes cuisses en de grands mouvements circulaires, s'aventuer sur la face interne si sensible, remonter un peu plus haut au raz des fesses et ... m'abandonner brutalement pour s'occuper à l'identique de l'autre jambe.

La secondes est choyée de la même manière, mais ensuite, vous évitez mes fesses, à peine couvertes par le dernier rempart de dentelle qu'un ultime respect de ma pudeur vous a fait me laisser.

Vous reprenez le massage mais à la base du dos. Vos mains montent , descendent, fortes, impérieuses mais douces à la fois. Ma respiration se cale sur le mouvement, accompagne vos mains jusqu'à ma nuque, puis au creux des reins; vos doigts passent un peu sous le fin tissu, glissent un peu dans le délicat sillon mais butent sur la dentelle, qui vous dérange.

Vos mains s'écartent de mon dos, plonge sur mes  flancs et saisissent simultanément l'élastique. Vous tirez lentement le tout vers le bas, m'obligeant un instant à soulever impudiquement les fesses pour vous aider à la manoeuvre. Vous marquez un temps d'arrêt, afin de profiter du spectacle qui s'offre à vos yeux, gourmands de belles choses. J'en profite pour soulever mes hanches un peu plus et attiser encore le feu que je sens bruler en vous.

La dentelle  glisse encore vers le bas et se retrouve définitivement au sol.

Mon bassin se détent et se repose délicatement sur le matelas.

Je suis désormais nue devant vous, totalement offerte aux caprices de vos mains et de votre regard...

 

Moi :

C'est à ce moment que mes mains reviennent sur vos reins, chargées d'huile ...

Elles massent profondément de nouveau votre dos, partant du haut des fesses pour mourir prés de la nuque, la redescente s'effectue le long des flancs, effleurant au passage la naissance de vos seins. Aprés plusieurs passages, je sens votre torse se soulever un peu afin de laisser un peu plus de champs libre à cette caresse qui ne dit pas son nom.

Mais je ne me laisse pas perturber. J'aime sentir votre désir monter, voir vos hanches onduler à mon passage et vos fesses se soulever à l'approche de mes mains.

 

Plus les passages s'enchaînent et plus mes mains descendent bas, massent à pleine main chaque colline, chaque muscle, descendent entre vos cuisses entrouvertes par vos soins, plongent prudemment dans la tiéde vallée qui les sépare.

Chaque passage met en mouvement toute la peaux et les muscles de la région, découvrant par à coup et sans en avoir l'air; le profond sillon qui cache toujours ses trésors. Les mouvements mettant en éveil chaque muqueuse, chaque pétale, chaque nerf de plaisir.

Au creux de cette vallée, je devine maintenant qu'une brillante moiteur se dessine, et la montée de vos hanches vers mes mains, à chaque circonvolution m'en confirme la naissance.

Mais les doigts frôles, les mains caressent, et aucun contact directe ne viendra vous apaiser pour l'instant....

 

Retournez vous s'il vous plait ...

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques - Communauté : Les récits érotiques
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Mercredi 27 mai 3 27 /05 /Mai 17:49

Il y a quelques mois, pour mon anniversaire, mes collègues de bureau m’ont offert un cadeau pour le moins original : un massage naturiste. Je pense qu’ils voulaient me procurer un moment de détente et de relaxation qui sorte des sentiers battus, et qui soit agrémenté d’une touche de sensualité – ce dont je suis toujours friand. J’avoue avoir été un peu surpris au départ, et j’ai attendu presque un an avant de prendre rendez-vous avec l’institut : parce que je voulais le moment propice pour profiter d’un bon massage, et parce que je voulais me sentir "prêt" à franchir le pas. Je crois que de moi-même je n’aurais jamais tenté le massage naturiste, car je connais le massage dit "body massage", que j’imagine plus sexuel qu’autre chose, et pour moi le massage naturiste était quelque peu similaire. En fait, il s'agit plutôt d'une variante du massage californien, avec une dimension sensuelle...

Quoiqu’il en soit, j’ai fini par me lancer et j’ai pris rendez-vous auprès de l’institut "tuuuut", un établissement plutôt spécialisé dans ce type de massages… et qui en propose d’ailleurs aussi bien aux hommes qu’aux femmes, voire aux couples. En m’y rendant, je dois avouer que je me sentais curieux, assez intimidé, et je dois le dire, plutôt excité ! J’ai été accueilli à l’institut par une hôtesse charmante, qui vous propose un café et vous met à l’aise. Un accueil très soft et professionnel : on vous explique le déroulement du massage étape par étape, puis on vous invite à vous rendre dans la salle de massage. Les choses sérieuses commencent…

Après cet accueil et cette explication, l’hôtesse vous laisse dans la pièce sans oublier de vous indiquer la salle de bain afin que vous puissiez prendre une douche. Vous vous déshabillez, prenez votre douche, et suivant les dernières indications données vous vous allongez sur le ventre, nu, sur un matelas de sol.
Je vous plante le décor : une petite pièce, dans une semi-pénombre, une musique douce et apaisante, un plancher sombre, des bougies. Des pétales de roses sur le sol. Forcément une fois installé et seul on commence à se poser des questions : où suis-je ? que fais je ? dois-je partir ou bien rester ?…
Mais on n’a pas trop le temps de cogiter, la masseuse frappe à la porte et vous demande votre accord pour pénétrer dans la pièce. Après m’avoir demandé si tout va bien, elle diminue encore l’intensité de la lumière avant, non sans me prévenir, de me bander les yeux m’assurant que la détente n’en sera que plus forte. Grand moment d’angoisse… votre imaginaire part au galop…

Seuls la musique et le bruit de ses pas se font entendre. Soudain vous entendez qu’elle se met également nue : vous percevez le son de ses vêtements glissant sur le sol, identifiable comme par magie. La voilà donc nue, vous n’avez plus qu’à vous livrer à elle sans oser bouger ou dire quelque chose.
Elle vous demande si vous préférez une huile de massage chaude ou tiède, et la laisse tomber en filet sur votre dos avant de l’étaler voluptueusement.
Elle s’attaque d’abord au haut du dos, ses mains expertes, douces mais fermes, commencent à vous masser. Après avoir tenté de la localiser dans l’espace, vous décidez de vous laisser faire et plongez dans un grand moment de relaxation, redécouvrant par là-même des zones sensibles de votre corps dont vous aviez presque oublié l’existence.
Si vous arrivez à deviner quand ce sont ses mains qui sont en action, à d’autres moments vous vous demandez avec quelle partie du corps peut-elle bien vous donner autant de plaisir relaxant ?...
Après le dos, elle vous masse les bras et les mains (très important les paumes de la main ! Qu’il est dur de ne pas prendre la sienne quand on sait qu’elle n’est que la finalité du corps nu d’une jolie hôtesse…), puis les fesses – une zone très sensible chez moi… Le massage devient de plus en plus sensuel, alternant dynamisme et effleurement des doigts, faisant vibrer tout le corps.
Puis elle descend jusqu’aux pieds, relaxant entièrement tout votre corps.

Et là elle s’approche de vous et vous enlève le bandeau. Elle vous demande de vous mettre sur le dos. Vous découvrez enfin ce corps que vous avez imaginé pendant les 20 minutes précédentes. Et vous découvrez un joli corps bien fait, totalement dénudé.
Quelque peu gêné de vous montrer ainsi nu, vous vous dites au bout de 30 secondes quelle est finalement dans la même situation ! Elle commence son massage de face par le bas du corps, pieds et jambes. Totalement allongé sur le dos, vous ne voyez que son visage, alors qu’elle peut vous voir dans toute votre intimité…
Accroupie à vos pieds, elle commence par les masser pendant quelques minutes. Très relaxant ! Puis s’appuyant sur votre corps, elle s’allonge de tout son long pour vous masser les cuisses, extérieur et intérieur. Son corps et sa poitrine ne sont qu’à quelques centimètres de votre corps. Puis elle vous masse l’entrecuisse, évitant (de très peu) les parties génitales.
Mais là, le mal est fait : votre corps réagit (votre corps d’homme, en tout cas). Forcément gêné mais néanmoins excité, vous vous laissez totalement faire, d’autant que la masseuse vous fait gentiment comprendre qu’elle est habituée à ce type de réaction... Les minutes qui suivent vous semblent à la fois longues et rapides, tant le relâchement est total.

Pour finir la masseuse se déplace et vient s’accroupir auprès de votre tête. Un genou de chaque coté, elle commence un massage sensuel de votre visage, de votre cou et votre torse, faisant frissonner tout votre corps.
Appuyée sur les genoux, le bassin levé, elle se penche au-dessus de vous, s’appuyant sur votre corps, et vous masse énergiquement. Les yeux levés, vous découvrez alors toutes les parties intimes de son corps. Son sexe épilé frôle à plusieurs reprises (de longues reprises !!!) votre visage au gré de ses mouvements d’avant en arrière. Vous êtes à la fois détendu et vos sens sont à leur paroxysme. Puis la séance se termine, déjà, après 45 minutes de détente et d’extrême sensualité. D’une voix douce elle vous dit : c’est fini. Phrase cruelle ! Et vous invite à prendre une douche froide… ce que vous faites volontiers afin de calmer vos ardeurs réveillées. Vous ressortez de l’institut avec l’impression d’avoir vécu un moment hors du temps, une parenthèse de volupté.

Découvrir ce massage naturiste était une très bonne expérience, sensuelle et relaxante, pleine de nouveauté pour moi. Je renouvellerai à coup sûr l’expérience. Je ne sais pas comment cela se passe pour une femme, mais pour un homme, s’efforcer de se dominer dans de telles circonstances est une expérience particulière, très excitante. En tout cas je remercie celles et ceux qui m’ont offert ce cadeau si spécial…

C'était une expérience vécue par un ami ce printemps 2009  et vous, avez vous eu l'occasion de tester ?!
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Jeudi 18 décembre 4 18 /12 /Déc 16:30

Les auteurs classiques : parfois de beaux coquins !

 

J'inaugure ici une série d'articles consacrés aux auteurs et poètes classiques, que l'on découvre parfois sous des angles disons ... bien différents de ce que l'on avait en tête !

Crédit photo : Votre serviteur


Je ne l'entendais pas, tant je la regardais

Par sa robe entr'ouverte, au loin je me perdais,

Devinant les dessous et brûlé d'ardeurs folles :

Elle se débattait, mais je trouvai ses lèvres !

Ce fut un baiser long comme une éternité

Qui tendit nos deux corps dans l'immobilité

Elle se renversa, râlant sous ma caresse ;

Sa poitrine oppressée et dure de tendresse

Haletait fortement avec de longs sanglots.

Sa joie était brûlante et ses yeux demi-clos ;

Et nos bouches, et nos sens, nos soupirs se mêlèrent

Puis, dans la nuit tranquille où la campagne dort,

Un cri d'amour monta, si terrible et si fort

Que des oiseaux dans l'ombre effarés s'envolèrent

Ainsi que deux forçats rivés aux mêmes fers

Un lien nous tenait, l'affinité des chairs.


 Guy de Maupassant


 

Et pour ceux qui, comme moi, auraient un peu oublié de boire les paroles de leur professeur de français au collège, bien calé en hiver contre le seul chauffage présent au fond de la classe, voici un petit résumé de la vie de cet homme qui mourut de sa passion des femmes ...


Après des débuts laborieux, Guy de Maupassant a réussi à s’imposer comme l’un des écrivains majeurs du XIXème siècle, au même titre que ses  camarades Zola et Flaubert. Auteur de contes, de romans et de nouvelles, son écriture le situe dans le mouvement réaliste et naturaliste. Il est également connu pour avoir su introduire une dimension fantastique à plusieurs de ses récits.

Une enfance proche de la nature


Guy de Maupassant naît le 5 août 1850, vraisemblablement à Fécamp, dans la Seine Maritime. Il passe une enfance heureuse à Etretat, au bord du littoral normand. Dans ce cadre champêtre, le jeune Guy reçoit son instruction d’un abbé et de sa mère, qui possède une vaste culture littéraire. Il passe le reste de son temps entre le port et la campagne, où il se lie avec les pêcheurs et les paysans des environs qui lui inspireront plus tard plusieurs personnages.

A l’âge de 12 ans, il est envoyé en pension au collège religieux d’Yvetot, qui sera à l’origine de son dégoût de la religion. Il intègre ensuite le lycée de Rouen en 1868.

Une carrière avortée dans l’administration

Au sortir du collège, Maupassant est mobilisé pour la guerre de 1870 contre la Prusse. Il sert dans l’intendance à Rouen jusqu’à la débâcle de 1871. Il travaille ensuite à Paris comme fonctionnaire au Ministère de la Marine pendant près de 10 ans, puis au Ministère de l’Instruction publique. Ces emplois administratifs étant une profonde source d’ennui pour lui, Maupassant met un terme à sa carrière dans l’administration pour se consacrer pleinement à l’écriture en 1880.

Les prémisses d’une carrière littéraire

Alors qu’il avait écrit ses premiers vers au séminaire à l’âge de 13 ans ainsi que sur les bancs du lycée de Rouen, Maupassant ne développe réellement son talent littéraire qu’à partir des années 1880. A cette époque, Flaubert, ami de longue date de sa mère, l’introduit dans le milieu littéraire naturaliste et réaliste. Dans les salons littéraires, il croise Tourgueniev, Zola et les frères Goncourt.

Maupassant n’aura alors de cesse de plaire à son mentor, l’auteur célébré de Madame Bovary, dont il se présentera toute sa vie comme le fils spirituel. Il publie alors des vers, des contes et des pièces de théâtre qui ne remportent cependant aucun succès. Après cette série d’échecs, il y parvient à gagner l’estime de son maître en 1880, lors de la publication de Boule de Suif. En effet Flaubert, qui mourra la même année, dit alors de cette nouvelle que c’est « un chef d’œuvre qui restera ».

La reconnaissance du public

En 1880, Maupassant accède enfin à la célébrité en participant à l’œuvre collective des Soirées de Médan, considérée comme le manifeste de l’école naturaliste. Il y publie la nouvelle Boule de Suif qui est un tel succès qu’elle lui ouvre les portes du métier de journaliste. Il signe alors de nombreux articles, contes, feuilletons et reportages dans des journaux tels que Le Figaro, Gil Blas, Le Gaulois et l’Écho de Paris. Ses récits sont ensuite regroupés dans des recueils dont La maison Tellier (1881), les Contes de la bécasse (1883), ou encore les Contes du jour et de la nuit (1885).

Il publie également des romans réalistes parmi lesquels on retiendra Une vie en 1883, Bel-Ami en 1885 et Pierre et Jean en 1888. Auteur à succès, Maupassant devient riche. Il acquiert un yacht en 1885 et voyage à son bord en Afrique du nord, en Italie, en Angleterre, en Bretagne, dans le sud de la France, en Sicile.

Devenu célèbre, l’auteur fréquente les soirées parisiennes, mais a du mal à se mêler à cette farce sociale. Il y retrouve ce qu’il dépeint si souvent avec cynisme dans ses romans : la cruauté du genre humain s’exprimant à travers ses pires défauts : l’égoïsme, cupidité, bêtise…

La mort prématurée

Dans les dernières années de sa vie, Maupassant, est atteint de troubles nerveux dus à la syphilis. Son aversion progressive pour la société, qui croît à mesure que sa paranoïa augmente, le conduit à vivre reclus. Dépressif, physiquement diminué et sombrant peu à peu dans la folie, il décède le 6 juillet 1893 à l’âge de 43 ans.


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Mercredi 2 avril 3 02 /04 /Avr 02:02

Marlène 17 - Enchaînée et caressée toute la nuit

 

Depuis une bonne heure, la Rolls  serpentait avec lenteur sur un mince filet d'asphalte qui  louvoyait au beau milieu d'une immense forêt de chênes moussus et sans âge.
Tout à coup, au centre de la lumière indécise des phares, se dessina enfin la lourde silhouette de la tour principale du château. La belle anglaise rutilante glissa ses roues en silence sur le pont-levis qui enjambait la fosse liquide des douves et stoppa sans un bruit devant la porte majestueuse de la forteresse.
Le chauffeur, vint nous ouvrir la porte et nous sortîmes toutes les deux des fauteuils de cuir à l'odeur entêtante.

Il passa derrière nous, dégrafa le large manteau de laine qui nous protégeait, et les roula avec soin sur son bras avant de les déposer sur la banquette arrière

Un puissant projecteur s'alluma et nous baigna de sa lumière crue. Le chauffeur en profita pour parcourir de son œil averti le profil nos corps nus. Je le vis s'attarder sur le bas-ventre de Cécile,  appréciant d'un hochement de tête l'extraordinaire proéminence du pubis dodu et parfaitement lisse, fendu très haut par un profond sillon carminé dont dépassaient deux beaux pétales de chair fripée et violacée.
Quelques instants plus tard, nous gravissions le large perron de la demeure entourée d'arbres séculaires, parmi tout un concert de chants d'oiseaux. Pas le moindre bruit, en revanche, ne venait de l'intérieur, et lorsque Cécile pressa le bouton de la sonnette, nous n'entendîmes retentir aucune sonnerie...
Je désespérais de voir venir quelqu'un lorsque la porte s'ouvrit enfin, avec une extrême lenteur. Un asiatique au crâne rasé et de petite taille apparut dans l'embrasure. Il ne marqua aucune surprise en découvrant notre nudité totale, nous fit simplement signe d'entrer et nous accompagna silencieusement jusqu'à un petit salon plongé dans une étrange pénombre.
- Asseyez-vous, le maître vient tout de suite, gazouilla-t-il d'une voix claire. Le maître était lui aussi un asiatique, nettement plus âgé que son serviteur, le visage aussi ridé qu'une pomme cuite. Il nous regarda un bon moment avec un énigmatique sourire.
Désirez-vous rester ensemble ou préférez-vous être séparées? Finit-il par nous demander.
Nous préférons être séparées, se dépêcha de répondre Cécile.
C'est comme vous voulez, dit le vieil homme en souriant. Et combien de temps souhaitez-vous rester ?
Toute la durée d'un programme, si vous n'y voyez pas d'inconvénient.
Je n'en vois aucun. Je vais vous en commu­niquer le contenu, afin que vous puissiez choisir, dit le vieux en se dirigeant vers un secrétaire qui se trouvait au fond de la pièce.
Inutile, l'interrompit Cécile. Mon amie prendra le numéro trois dans sa totalité. Quant à moi, je prendrai le huit jusqu'à ce qu'elle en ait terminé...
Le  huit,  vraiment?  S'étonna  l'homme. L'avez-vous déjà demandé, madame ?
Non, jamais. Mais cela n'a pas d'importance. J'en connais toutes les phases dans les moindres détails et je me sens en état de l'apprécier aujourd'hui. Je suis en forme...
Je vois en effet que madame a effectué une bonne préparation, ronronna l'Asiatique en pointant un ongle interminable en direction des traces violacées marquant le beau corps de Cécile.

Elle devrait être en état de goûter les nombreux plaisirs qui vont lui être proposés, d'en goûter toutes les nuances...
J'y compte bien, approuva la jeune femme. J'espère une fois de plus être satisfaite de vos services et avoir envie de revenir chez vous...
Vous le serez, je n'en doute pas. Parmi nos nombreuses clientes, aucune jusqu'ici n'est repartie déçue... Au fait, pour le règlement, je sais que vous avez un compte ouvert chez nous... Vous m'excuserez, mais je n'ai pas l'honneur de connaître madame fit-il en me glissant un regard en coin, vaguement méfiant...
-         Madame est une amie, je l'invite. Vous mettrez le tout sur mon compte...
-      Très bien, accepta le vieil homme en s'inclinant légèrement.
Là-dessus, il s'éloigna à petits pas rapides et, ouvrant la porte du salon, il frappa trois fois ses petites mains fripées l'une contre l'autre. Tout de suite deux hercules, des mongols, pensai-je, à cause de leur crâne rasé, de leurs longues moustaches et de leur aspect terrifiant, simplement vêtus d'un slip de peau, pénétrèrent dans la pièce tenant chacun à la main une pièce de tissu noir. L'un se dirigea vers Cécile, l'autre s'approcha de moi. J'étais loin d'être rassurée et la gêne que j'éprouvais à cause de ma nudité passa brusquement au second plan.
- Rassemble tes cheveux au-dessus de tête ordonna Cécile en joignant le geste à la parole, comme ça...
Je n'eus pas plutôt fait ce qu'elle me montrait qu'une cagoule me fut passée sur la tête. Attachée par des cordonnets au niveau de la nuque, elle m'aveuglait totalement et m'aurait même empêchée de respirer, si une ouverture n'avait pas été prévue à hauteur de la bouche. Je fus plongée dans le noir le plus absolu, les sons m'arrivaient étouffés par l'épaisseur du tissu.
Celle-ci pour un huit, et celle-là pour un trois, entendis-je glapir le vieux. Vous avez bien compris?

(auteur ?)

De gros doigts s'emparèrent de ma main gauche et l'on m'entraîna vers une destination inconnue. Tout d'abord hésitante, craignant de m'entraver, de butter sur quelque obstacle, je pris peu à peu confiance dans mon guide qui m'emmena tout d'abord à travers un long couloir, me fit ensuite descendre un escalier et puis me fit longer un nouveau couloir pour me faire marquer un temps d'arrêt devant ce que je sup­posais être une porte. J'avais hâte qu'elle soit ouverte, parce que nous devions nous trouver dans un sous-sol et que la température avait assez nettement fraîchi.
Je l'entendis grincer et nous pénétrâmes dans un endroit où il faisait bien meilleur. Je n'eus guère le temps, cependant, d'apprécier la tiédeur de l'air : je me sentis immobilisée tout à coup, renversée en avant et puis soutenue par de puis­santes mains qui, me saisissant aux aisselles et aux genoux, me portèrent à l'horizontale pour me déposer bientôt à plat ventre sur un objet lisse et froid. C'était une sorte de couche de métal dont la forme concave épousait vaguement celle de mon corps. Un instant plus tard, je sentis qu'on intro­duisait ma tête dans une ouverture cerclée d'un bourrelet de cuir, ou peut-être de caoutchouc. Ensuite, on me passa des sangles qui m'immobili­sèrent étroitement, mais sans être pénibles à supporter.
Je n'étais toutefois pas vraiment en place. Je le fus lorsque l'on m'eut à nouveau déplacé, de sorte que mon pubis et ma poitrine s'emboîtent parfaitement dans des ouvertures pratiquées dans l'espèce de moule creux sur lequel j'étais allongée. Des doigts habiles tirèrent bientôt les lobes de mes seins vers le bas, afin de bien dégager leur masse ferme et élastique.
Le reste alla très vite. Chacune de mes jambes, tirée de côté, fut placée dans une gouttière et entravée de nouvelles sangles qui m'écartelèrent au maximum. Quant à mes bras, ils furent allongés de chaque côté de ma tête et tirés vers l'avant pour être entravés à leur tour. Une dernière courroie, épaisse celle-là, fut placée au niveau de ma taille pour achever de m'immobiliser et aussi pour me plaquer étroitement contre la surface sur laquelle je reposais. Sa forme était telle qu'elle me cambrait fortement et projetait autant que possible ma croupe vers le haut. Prisonnière de cet étrange attelage, assourdie, aveuglée, j'imaginais sans aucune peine le spectacle que devait offrir ma croupe relevée aussi insolemment...

(auteur ?)
Je me demandais ce qu'on allait bien pouvoir faire de ma personne ainsi exposée. Tout était possible, et je n'étais pas très fière, à dire vrai ...
En réalité, les débuts furent extrêmement agréables, beaucoup plus en tout cas que ce que j'espérais. Chaque bout de mes seins fut happé par une bouche humide et chaude, tandis que des doigts d'une grande douceur en pétrissaient habilement les globes. Quant à mon sexe, il devint la proie de lèvres entreprenantes, d'une langue experte et active, cependant que des doigts l'ouvraient largement.
Bientôt, des mains de velours se mirent à courir sur mes cuisses, sur mes reins et sur mes fesses tendues. Au bout d'un moment, c'est tout mon corps qui fut à la fête et sous cette avalanche de caresses, je me mis à fondre littéralement de plaisir. Toute crainte s'était envolée et je ne pensais plus qu'à la satisfaction de mes sens exaspérés par tant d'attentions à la fois. Tout mon être conspirait à l'explosion de la jouissance, que je sentais se cristalliser au fond de mon ventre et de mes reins. Le premier orgasme ne tarda pas à venir et me fit vibrer longuement, et pousser des plaintes rauques. Cependant, comme je m'y attendais un peu, ni les bouches, ni les langues, ni les doigts qui m'avaient conduite à cet excès de plaisir ne voulurent relâcher leur emprise, en sorte que leur zèle, un moment, me devint presque insupportable.

(auteur ?)

Passé le cap délicat de l'après-jouissance, les lèvres se faisant encore plus pressantes, les langues plus audacieuses et les doigts plus impérieux, je sentis mon désir renaître lentement. Lapée, léchée, sucée, aspirée et tripotée de partout, je ne tardai pas à sombrer une seconde fois dans les affres du plaisir. Je criai, mais cette fois, curieusement, je ne connus pas de retombée. Grâce au talent des officiants auxquels je m'étais cette fois totalement abandonnée, je fus mainte nue sur les plus hauts sommets de la jouissance, il faut dire que les dents étaient venues se joindre aux lèvres, aux langues et aux doigts pour m'amener aux frontières de la souffrance.

Mes tétons furent mordillés, mâchés, serrés et soudain léchés avec délicatesse, pour être mor­dillés encore, et faire l'objet de nouvelles et savantes tracasseries. On déformait mes tétons en les pressant sans ménagement afin que saillent plus encore les aréoles dures et les bourgeons exaspérés par des bouches voraces.

D'autres dents s'acharnaient sur les lèvres de ma vulve, sur mon clitoris turgescent et dilaté, cependant que des doigts prenaient possession de mon vagin inondé de ma liqueur et de salive, s'insinuaient entre mes fesses pour assouplir et distendre mon orifice anal...
Saisie de tous côtés, investie sans répit, je n'en finissais pas de hurler l'explosion sans cesse recommencée de mes orgasmes. Incapable de supporter plus longtemps l'intensité de cette jouissance, je fus prise d'un éblouissant vertige et perdis conscience...
L'aiguille qui se planta dans ma fesse me fit revenir à moi, ou plus précisément elle me fit retrouver l'usage de mes sens. J'ignorais totalement la nature du produit que l'on m'injectait, mais quelques minutes plus tard, j'étais prête à recommencer, prête à prendre à nouveau du plaisir.
J'attendais du plaisir et c'est de la souffrance qui arriva, une souffrance que je commençais à connaître. Sous la violente déflagration des lanières venant cingler ma croupe, offerte dans toute son amplitude, sans aucune protection, je poussai une vive exclamation de douleur. Rapidement, j'eus très mal et puis cela devint carrément intolérable. Sous les attaques impitoyables du cuir venant claquer sans relâche sur mes fesses, je n'arrêtais plus de hurler ma souffrance.
Des reins jusqu'aux cuisses, mon postérieur se transforma en un brasier dévorant. Une fois de plus, sous les cruelles cinglées, je vécus toutes les phases qui font de la flagellation une véritable torture. Lorsque j'eus épuisé tout mon potentiel nerveux, lorsque je fus à bout de résistance et de volonté, je devins une bête humaine, une bête hurlant sous l'intolérable supplice. Ce que je vivais là était sans commune mesure avec ce que m'avait fait endurer François (voir Marlène 8 - nuit initiatique). Cette fois en effet, à cause du produit que l'on venait de m'injecter, je n'avais pas d'échappatoire, il m'était impossible de trouver refuge dans l'évanouissement...

(auteur ?)

Que cela me plaise ou non, il fallait que je boive le calice jusqu'à la lie. Ô, tourments de la flagellation!... Les lanières qui s'abattent encore et encore sur l'épiderme toujours plus douloureux semblent un instant vouloir adhérer, coller à lui en un baiser de feu donné par mille bouches incandescentes. Elles avivent les nerfs, contractent les muscles et meurtrissent les chairs qu'elles semblent arracher par lambeaux. Elles reviennent sans cesse à la charge, attirées irrésistiblement par les fesses qui s'ouvrent et se ferment, agitées de crispations spasmodiques.
Impuissant à s'opposer à la flagellation qui crépite sur ses parties les plus sensibles, qui lui fait endurer mille maux, le corps se cabre dans ses liens, hurle en vain et ses cris se mêlent à ses sanglots...
Combien de temps ai-je hurlé, vociféré, pleuré sous l'infernale averse? Sans doute une éternité. Quoi qu'il en soit, longtemps après que la correction eut cessé, je sanglotais encore. Ce furent de curieux effleurements parcourant mon dos, mes reins, ma gorge, mes cuisses, ma croupe et mon sexe qui vinrent tarir mes pleurs.
Bientôt, les innombrables terminaisons nerveuses irriguant ma peau m'instruisirent de cette nouveauté : les lèvres de mon sexe étaient mordues doucement par un étrange instrument, pro­bablement de petites pinces métalliques. Chaque lèvre était ainsi le siège d'une petite brûlure, mais, par comparaison à ce que je venais d'endurer, la douleur était tout à fait supportable.
On me caressait à nouveau en abondance, mais ce n'étaient ni des doigts, ni des bouches, ni des langues. Il s'agissait de tout autre chose, étant donné la subtilité des caresses. On m'effleurait à coup sur avec des plumes. Des plumes de paon, ou d'autruche, avec leur duvet... Cela devint en tous cas vite insupportable : si les lanières m'avaient procuré une abominable souffrance, ces frôlements suscitaient un malaise qui ne valait guère mieux. Ils firent naître en effet sur toute la surface de mon épidémie une intense volupté, mais comme rien ne venait jamais la satisfaire, elle ne tarda pas à se transformer en torture.
Sans doute n'éprouvais-je aucune douleur à proprement parler, mis à part celle qui continuait de lanciner ma croupe mise à mal par le fouet, mais sous les effleurements qui ne se fixaient nulle part, dont la perpétuelle migration me faisait perdre la tête, s'accumulait un désir intolérable à force de ne pouvoir s'évacuer. J'aurais aimé pouvoir bouger, pouvoir promener mes mains sur mon corps pour en apaiser l'insupportable énervement...
Hors de moi, au paroxysme de l'excitation sexuelle, je me mis à pousser des cris d'impa­tience et à me tordre dans mes liens. J'allais me mettre à supplier mes invisibles bourreaux pour que cessent les démoniaques caresses lorsque trois douleurs successives, vives et brèves, m'arrachèrent de stridentes plaintes.
Successivement, le bout de mes seins, puis mon clitoris furent mordus cruellement par de minuscules mâchoires d'acier, c'est du moins ce que j'imaginais, étant donné la faible ampleur des morsures. Ensuite, presque aussitôt, et s'irradiant de ces trois points, me vint la sensation étrange et voluptueuse, quoique assez désagréable, d'être percée en maints endroits de pointes d'aiguilles, immédiatement retirées pour être replongées quelques instants plus tard dans ma chair douloureuse.

(auteur ?)
Sous l'effet des légères et fugaces décharges électriques provoquées par ces piqûres, mes nerfs s'affolèrent et tétanisèrent mes muscles tandis que se rapprochait la jouissance qui ne cessait de grandir. Son raz de marée me submergea soudain pour me noyer, hurlant en moi dans un cyclone de jouissance.
J'avais cru mourir pour de bon et je revins brusquement à la vie,  bientôt engloutie par une nouvelle vague de plaisir, tout aussi prodigieuse que la précédente et qui m'entraîna une fois de plus au fond de l'abîme. Affolée, sanglotante, en plein délire, incapable d'endiguer le déchaînement de mes sens, je succombais sous l'incessant déferlement des orgasmes, au risque de perdre toute notion du temps, de l'espace, tout sentiment de réalité et même d'existence. Je n'étais plus qu'un énorme clitoris secoué par les ondes de choc du plaisir, j'étais en proie à un fantastique séisme qui me projetait au fond d'un univers sans fin...
Beaucoup plus tard, des membres plus durs que l'acier, des membres impétueux me pénétrèrent, s'enfoncèrent au tréfonds de mon ventre et de mes reins, vidèrent en moi leur chaude lave. Ce furent ensuite des fouets ardents qui revinrent à la charge pour réveiller de cuisantes douleurs que des mains douces et caressantes s'efforcèrent de calmer, avant que de nouvelles queues, aussi fortes et déterminées que les précédentes, ne me jettent dans de nouveaux et délirants transports. Mais cela n'avait plus guère d'importance, je n'existais plus vraiment, je ne vivais plus, je n'étais plus moi, je n'étais qu'un sexe monstrueux et béant, un sexe possédé du démon de la jouissance...
(auteur ?)
Des heures après, ou des siècles, après qu'un étrange et épais breuvage m'eût rendu mes forces, je me réveillai dans le salon d'accueil, près de Cécile, sur le visage de laquelle se voyait encore la marque de tout ce qu'on lui avait fait endurer.
Les traits affreusement tirés, d'une pâleur mortelle, elle avait tout le corps couvert de boursouflures et de marques violettes. L'arrière de ses cuisses, ses fesses et ses reins étaient couverts d'ecchymoses cependant que, cernant les aréoles de ses seins, de nombreuses aiguilles à tête d'or s'enfonçaient dans sa chair tendre...

Je reçois des amis ce soir et j'ai demandé que l'on me place une parure sur les seins, m'expliqua-t-elle d'une voix alanguie.  Qu'en penses-tu, c'est joli, n'est-ce pas?
Tout à fait, reconnus-je, mais tu vas avoir horriblement mal, pour peu que l'on te caresse la gorge...
- C'est toi qui le dis, murmura-t-elle, le regard perdu vers je ne sais trop quelle planète. Tu devrais savoir que le bien et le mal se rejoignent parfois...
Il faisait nuit noire lorsque nous reprîmes la voiture et, en raison de la fraîcheur de l'air, Cécile m'autorisa à remettre mon manteau.
Tout comme à l'aller, elle ne m'adressa pratiquement pas la parole et dès que j'eus récupéré mes vêtements, elle me pria de partir sans me proposer de me raccompagner.
Pour elle, la nuit n'était pas encore finie ...

Par Zygomax - Publié dans : Récits érotiques
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Dimanche 16 mars 7 16 /03 /Mars 23:44

Assied toi, ferme les yeux : tu as les yeux bandés.

 

Cela fait bien 10 minutes que je t’ai ordonné de t’asseoir sur ce large fauteuil de travail en buffle noir.

Soudain tu entends le bruit de mes talons derrière toi. Je m’approche, te noue fermement un bandeau sur les yeux, afin que tu ne puisses anticiper mes caresses. Tes bras restent libres.

 
(auteur ?)

Tu peux sentir la chaleur de mes mains sur ton cou où mes lèvres les rejoignent. J’embrasse alors ton visage, ton front, tes joues, tes lèvres. Je te chevauche ensuite pour un baiser passionné où nos langues se mêlent alors que mes mains encadrent ton visage. Tu caresses mes jambes et remonte le long de mes cuisses, tu arrives à la hauteur de mes bas, ma peau est brûlante de désir, tu devines alors mon porte-jarretelles, mais rien ne barre le chemin de mon sexe parfaitement lisse et déjà mouillé d’avoir imaginé cet instant. Tu flatte un instant la douce courbe du ventre, tu caresses de la paume le bombé prononcé de mon pubis glabre et tu tentes de plonger plus bas.

 
(auteur ?)

Je me lève alors brusquement pour m’asseoir sur le bord du bureau, j’écarte les jambes et repose mes pieds sur tes genoux. Tu approches ton visage dans l’antre de mes cuisses, pour venir embrasser mon intimité. Une petite tape sur le nez t’indique que ton impatience doit être maîtrisée. Ta langue caresse alors timidement mes lèvres gonflées, puis s’aventure un peu plus loin et trouve le petit promontoire de chair rouge et tendre, gonflé à craquer. Je frémis de ce contact, et laisse échapper des soupirs de plaisir. Stimulé par ces bruits d’amour, tu m’écartes d’avantage pour enfouir ton visage au creux de mon sexe. Tes mains se font plus pressantes, je sens tes doigts passer avec intensité sur mes bas, que j’entends crisser sous cette caresse sauvage. Je ne peux m’empêcher d’onduler mon bassin, tu glisses alors tes mains sous mes fesses, que tu pétris d’impatience. Mes soupirs deviennent peu à peu des petits cris, je sens cette chaleur si particulière m’envahir et le rythme de mon bassin s’accélère et mes cris deviennent plus intenses, je jouis sur ton visage, t’inondant de mon plaisir. Tu te redresses et m’embrasse à pleine bouche.

Descendant alors du bureau, je te mets debout.

(auteur ?)

Tu sens mes mains parcourir ton torse et déboutonner ta chemise, je te l’enlève doucement, tes muscles se raidissent de désir, mes lèvres déposent mille baisers sur ta poitrine, ma langue se promène jusqu'à ton bas ventre, et mes dents se referment doucement sur ta peau, ton ventre, ton torse, tes tétons. Tu frémis tout en caressant mes cheveux.

Je descends alors mes mains sur ton pantalon, je sens ton érection, te voilà bien à l’étroit dans ton pantalon. Ma main caresse ton sexe gonflé et je t’entends soupirer d’impatience.

Je descends alors ton pantalon tout doucement en embrassant tes jambes. Devenant trop impatient tu enlèves ton caleçon : une tape sur les mains te rappel à l’ordre et tu relâche le tissu. Ton sexe déborde à moitié et je peux alors l’admirer en partie. Lentement mes ongles pointus griffent la peau tendre de ton aine, crochètent le tissu qui t’entrave, le tirent vers moi et libère ton sexe dressé.
Je me penche sur lui, le prends dans ma main et le caresse tout doucement. J’y approche mes lèvres et l’embrasse. Ma langue tourne autour de ton gland pendant que mes mains pétrissent doucement tes testicules si douces, si lisses, que mes lèvres rejoignent bientôt pour les sucer avec avidité. C’est comme un œuf de pâques en chocolat qui pourrait être tiède mais sans fondre. C’est sucré, fragile et je les roule avec gourmandise sous ma langue. Je reviens ensuite sur ton sexe que je prends avidement dans ma bouche et commence sans autre forme de procès un subtil vas et viens.
Ton bassin marque le rythme lent de ma caresse et tes mains se sont posées sur mes cheveux.
Je t’entends gémir de nouveau.
Je sens que ta jouissance approche.
Je te suce en jouant avec ma langue, et enfin, alors que tu pousses un cri rauque, que tes jambes ploient sous le plaisir, je recueille ta jouissance au fond de ma gorge. Je me délecte de ce mets puis nettoie ton gland de ma langue malicieuse.

Je me redresse et te retire le bandeau, tu me souris et sans un mot, les yeux brillants, tu retires ma robe découvrant mes seins, tu les caresses puis les prends entre tes lèvres et je sens ta langue courtiser mes tétons, et tes dents me mordiller doucement.
Tes mains continuent de me caresser, le ventre, le dos, les reins, tu me fais asseoir pour retirer mes bas, puis mon porte-jarretelles, tu souris à nouveau de me voir nue, peut être amusé par la situation. Ton sexe à nouveau durci, tu me prends dans tes bras pour que je puisse sentir ton désir de me posséder entièrement.

(auteur : Leroy)

Tu me retournes et m’incline sur le bureau. Mes seins s’écrasent sur le chêne froid, massif et centenaire. Puis sans autres préliminaires, tu me pénètres sauvagement. Surprise, j’ouvre grand la bouche, cherchant un peu d’air sous l’assaut et je rue du postérieur cherchant à te désarçonner. Mais ton va et vient s’intensifie, alors que mes cris de plaisirs se déclenchent et vont croissant de seconde en secondes, tes mains me tenant fermement par les hanches.
Tu te retires alors, remonte ton vit de quelques centimètre, prés l’ouverture sombre et étroite de mes fesses.

(auteur ?)

Le gland se pose doucement sur le muscle serré, test sa résistance, redescend prendre un peu de nectar et revient au combat mieux apprêté. Tes deux mains s’appuient sur chaque globe afin de les écarteler largement, et ta lance pourfend la première barrière de ma citadelle. Menton sur le bois patiné, je halète d’angoisse et de plaisir mélangés. Je n’ai pas le temps de me perdre en suppositions, la puissante poussée du combattant qui me chevauche vient de pourfendre ma seconde ligne de défense et de pénétrer dans le sanctuaire rarement violé de mon cul.

De nouveau, ma bouche cherche de l’air, je me trémousse et me secoue en tout sens, prête à faire perdre pied au cow-boy qui tente de me dompter. Mais le rodéo tourne à son avantage. En une dernière poussée conquérante, je sens ta longue tige s’enfoncer jusqu’aux couilles dans mon rectum.

Je sens ton sexe serré en moi, je commence à être en sueur, alors que ma jouissance tout comme la tienne est proche.

Tu finis par éclater en moi en poussant ton sexe au plus profond, pendant qu’à mon tour j’atteins la jouissance en criant.

 

Nous restons là plusieurs minutes immobiles, haletants, comme deux chevaux sauvages après un long galop sur une plage de Camargue. Nous suons, nous soufflons et … nous rions de notre bonheur.

Je me retourne et t’embrasse passionnément pour ce moment de plaisir intense et partagé.

Tu me soulèves dans tes bras pour m’allonger sur le lit et blottir ton menton au creux de mon cou, te voilà doux et tendre comme un agneau, de nouveau …

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Lundi 10 mars 1 10 /03 /Mars 20:18
Rééducation particulière- la kiné

La petite histoire que je vais vous raconter s'est passée il y a près de 20 ans, chez une kiné de Grenoble, rue Lakanal, alors que j'avais à peine plus de 20 ans... et encore peu d'expérience sexuelle à mon actif.

 C'était mon troisième rendez-vous dans son cabinet et, comme d'habitude, je m'étais allongé sur la table, en slip, et la kiné se trouvait derrière moi, à hauteur de ma tête. Agé d'une quarantaine d'année, celle-ci était brune, mince et plutôt jolie, sans plus, mais dégageait une certaine sensualité qui ne me laissait pas totalement indifférent. Mais je n'étais pas là pour draguer, juste pour soulager mes douleurs cervicales et dorsales, contractées après quelques « caramels » au rugby le mois dernier. Du moins, le croyais-je...

 Comme à chaque début de séance, elle commençait par me masser la nuque et les épaules pour évacuer les tensions musculaires. Ce faisant, vaguement troublé, je m'efforçais de trouver normal la sensualité qu'elle mettait dans ses gestes ce jour là. "Bon, mais ça n'a rien d'extraordinaire, me disais-je intérieurement, elle travaille juste consciencieusement, ne te monte pas la tête. En plus, elle a une alliance et elle a au moins 10 ans de plus que toi !"

 Mais ses mains descendaient plus bas encore sur ma poitrine, s'attardaient au niveau de mes pectoraux, enveloppantes et caressantes. J'ai encore le souvenir de ses doigts crissants sur la peau glabre de mon torse, de ses doigts fouillant mes cheveux juste au-dessus de ma nuque. Je me sentais vaguement troublé, plutôt décontenancé. Le silence était total, sinon les bruits étouffés de la rue filtrant au travers de la fenêtre fermée.

 Je pris alors conscience qu'une atmosphère particulière régnait entre les murs du petit cabinet. Moi, nerveux et perdu dans mes pensées (est-ce que je me fais des idées !?), elle, les mains sur mes épaules, mon cou, ma poitrine, de plus en plus caressantes.

 
 (auteur ?)
Malgré moi, je pouvais sentir mon sexe gonfler sous mon slip, sans que je puisse arriver à maîtriser quoi que ce soit. Prisonnier du tissu, ma verge se trouvait de plus en plus à l'étroit et, en baissant au maximum mon regard vers mes hanches, je pouvais voir mon slip se déformer par intermittence, au gré des tressautements de plus en plus insistants de ma verge. 

 Une certaine panique commença à me gagner. Que dire ? Quoi faire ? Les mains, elles, continuaient de sinuer sur moi, comme si de rien n'était alors que de sa position - je le réalisais après - elle voyait forcément ce qui se passait.

 Les mains de la kiné quittèrent lentement mon corps puis je la vis se lever, faire mine de regarder deux ou trois papiers sur son bureau, l'air absorbé. Moi, je ne pensais qu'à la bosse de mon slip, à l'érection qui commençait à me faire mal et qui ne pouvait passer inaperçu.

 La kiné pourtant fit comme si elle ne voyait rien et, après avoir chercher son tabouret, s'assit latéralement à moi, au niveau de mon sexe. D'une voix détachée, elle me fit :

 -"Bon, nous allons maintenant..."

 Et elle s'arrêta, comme si elle découvrait soudain mon trouble.

Je me souviendrai toujours de ce qu'elle me dit ensuite, très tranquillement :

 "Oh la la ... Vous m'avez l'air bien à l'étroit ! C'est moi qui vous fait cet effet là ?"

 Devant ma gêne évidente, et avant même que je ne trouve les mots pour répondre, elle continua :

 - "Il ne faut pas vous inquiéter, c'est parfaitement naturel. Et pour tout vous dire, c'est même très flatteur..."

 Sur ce elle prit ma jambe qui se trouvait près d'elle et commença d'exercer des mouvements amples avec, un peu comme le ferait une grenouille en nageant. Manifestement concentré sur ses gestes, les mouvements circulaires se firent de plus en plus large ce qui provoqua un bâillement de l'élastique de mon slip puis la libération de l'extrémité de mon sexe, en l'occurrence mon gland gonflé et partiellement recouvert du prépuce.

 Gêné au plus haut point, je tentais maladroitement de ranger mon sexe sous mon slip, sans grand succès.

 - "Laissez-la donc dehors... me fit-elle, mutine, en arrêtant le mouvement avec ma jambe. Au contraire, il est grand temps de vous mettre à l'aise."

 Sur ces mots, elle caressa mon gland sorti et, ce faisant, quelques gouttes de liquide séminal se collèrent sur le bout de ses doigts. Aussitôt, elle porta ces derniers à sa bouche et fit à la façon que l'on goutte la préparation d'un gâteau avant de le mettre au four : 

 - "Hmmmmm... "

 Elle fit ensuite descendre mon slip, le fit glisser le long de mes jambes pour le retirer entièrement. Ma verge se dressa comme un ressort puis alla se plaquer sur mon ventre où elle était reliée par un filet de liquide translucide et gluant. J'étais maintenant complètement nu devant elle, avec une belle érection.

 Sa main empoigna ma verge, commença de la masturber de haut en bas, très lentement. Un gémissement de plaisir s'échappa de mes lèvres. Je relevais la tête pour regarder sa main me branler langoureusement, ses yeux fixés sur mon sexe.

 - "Ce qu'elle est belle... me complimenta-t-elle. Combien mesure-t-elle, vous l'avez déjà fait ? Il parait que tout les hommes font ça..."

 Haletant, je répondais :

 - "Oui, environ 18 cm, un tout petit plus, peut être ..."

 - "Et tes couilles, ce qu'elles sont douces, c'est la première fois que je touche un sexe d'homme entièrement épilé, c'est beau !."

 Sans cesser de me branler, elle entreprit de me lécher les testicules, de les gober jusqu'à ce qu'ils soient recouverts de sa salive chaude. Sa langue montait et descendait de mon gland jusqu'à eux tandis que je me tordais de plaisir.

 Puis, elle agaça encore ma verge un long moment sans l'enfourner dans sa bouche. Le délicieux supplice sembla durer une éternité jusqu'à ce que, sans prévenir, goulûment, elle l'enfonce dans sa bouche, presque totalement, sans à peine bouger. 

 Une main à la base de mon sexe, elle caressait mes couilles de l'autre, les malaxait, tirait sur la peau de mes bourses. Cette dernière main descendit ensuite vers mon anus qu'elle chatouilla un moment, sans vraiment chercher à le pénétrer mais en l’agaçant de l’ongle. Moi, je continuais à gémir de moins en moins discrètement.

 Sa bouche coulissa enfin sur mon sexe, je vis la tête aux cheveux bruns monter et descendre très sensuelement tandis que ses deux mains me caressait tour à tour les hanches, le ventre, les cuisses et les testicules.

 Elle me suçait divinement bien, sans précipitation, avec volupté et douceur. Régulièrement, elle plaçait mon gland tout au fond de sa gorge pendant quelques secondes puis reprenait le va-et-vient, avec des petits "Mmmmmh !" étouffés de plaisir. 

 Elle s'arrêtait un court instant pour me lécher le gland sur son pourtour. Ses lèvres brillantes happaient ensuite mon sexe en entier, glissaient dessus tandis que ses joues se creusaient comme pour mieux l'aspirer.

 Je savais que je ne tiendrais pas longtemps comme ça, que l'explosion que je sentais monter en moi, presque électrique, incontrôlable, était imminente. Pour l'avertir, je tentais de redresser mon buste pour l'écarter du jaillissement de sperme. Contre toute attente, sa main droite me repoussa fermement et sa bouche s'enfonça encore plus bas à la base de mon sexe.

 En de longues saccades, presque en criant, je jouis dans le fourreau de velours humide et tiède qu'était sa bouche chaude. Me redressant quelques secondes sur mes coudes, je vis un peu de mon sperme s'échapper de sa bouche épousant mon membre pour couler le long et rejoindre mes testicules imberbes.

 Elle me suça encore un long moment, bu jusqu'à la dernière goutte et lécha encore avidement la peau lisse de mes couilles.

 - "J'adore tes couilles... lâcha-t-elle plusieurs fois en les regardant avec douceur …"

 Moi, anéanti de plaisir, je ne pus que m'étendre de nouveau sur la table en haletant, les yeux fermés, ivre de plaisir. Alors que cette divine femme avait achevé son oeuvre, je pouvais encore sentir sa bouche et sa langue parcourir toute la surface de mon sexe que je sentais désenfler.

 La conclusion arriva sous la forme d'un long baiser qu'elle me prodigua, sa bouche et sa langue encore gluant de ma propre semence. Je ne refusais pas ce baiser, au contraire, je pris même un certain plaisir à partager ma liqueur avec elle.

 Puis, d'un petit mouvement de tête, elle me fit comprendre que la séance était terminée, que je pouvais me rhabiller ce que je fis, sonné, et sans pudeur, allant même jusqu'à essuyer devant elle mon gland avec le mouchoir qu'elle me tendit.

 -"La prochaine fois, c'est toi qui me feras jouir, me glissa-t-elle avant que je ne sorte du cabinet. Alors, à jeudi prochain, même heure. Et n'oublie pas les préservatifs."

La quatrième séance

La date du rendez-vous arriva enfin… 7 jours, 7 longs jours teintés d’impatience, d’excitation et d’appréhension, 7 jours encore où je ne passais pas une seule minute sans penser à ma kiné et à l’incomparable orgasme qu’elle m’avait procuré en me prodiguant une fellation comme on ne m’en avait jamais faite.

Le cœur battant, je marchais sur le trottoir qui menait à son cabinet, à 500 mètres de chez moi. J’étais nerveux, le soir commençait de tomber sur la ville dont je ne percevais même pas la clameur des rues, du va-et-vient incessant des voitures et des passants. Ma tête était ailleurs, obsédée par cette quadragénaire et par son corps que j’espérais pouvoir, cette fois, posséder.

Je ne comptais plus les fois où je m’étais masturbé en pensant à elle, longuement, et en évitant au maximum d’éjaculer car je voulais la voir en rêve encore et encore lécher longuement mon sperme. J’y étais parvenu, pas tout le temps, en visionnant un film porno, le soir, toujours le même puisque je n’en avais qu’un, afin d’enrayer quelque peu ma libido inassouvie. Le célibat a du bon mais pas en toutes circonstances…

Je pénétrais dans le hall, puis dans l’ascenseur puis, après avoir sonné, patientait dans la salle d’attente vide. Par intermittence, j’entendais sa voix étouffée au travers de la porte. Puis celle-ci s’ouvrit alors que je ne m’y attendais pas laissant apparaître ma kiné, souriante et vêtu de sa blouse blanche.

D’un petit signe de tête, elle m’invita à entrer après avoir saluer son avant-dernière patiente. Je me levais, intimidé, et entrais dans le petit cabinet. D’un ton faussement dégagé comme elle savait si bien le faire, elle me demanda de me déshabiller ce que je fis sous ses yeux attentifs. Je retirais enfin mon slip qui découvrit ma verge déjà tendue et dont le gland émergeait intégralement. Elle me regarda un petit instant, d’un œil admirateur et gourmand puis ouvrit sa blouse bouton par bouton, lentement. Le dernier une fois défait, elle en écarta enfin les deux pans dévoilant ses petits seins ronds et galbés, surmontées de deux larges auréoles couleur cuivre. Immobile, je détaillais son corps bien fait, son ventre joliment et légèrement bombée, ses jambes aux cuisses bien dessinées. Instantanément, je devinais combien le grain de sa peau allait être doux et lisse sous mes mains, sous ma langue. Une culotte blanche en dentelle très ajourée cachait à peine son intimité que je rêvais depuis des jours d’explorer.


Elle bougea ensuite, à reculons, pour s’asseoir sur le tabouret qui se trouvait juste derrière elle et écarta les pans de sa blouse comme ses cuisses, au centre desquelles je devinais le renflement prononcé de son sexe. 

Glissant une main sous l’élastique de sa culotte qui commença de se déformer sous l’action de ses doigts faisant de petits mouvements du bas vers le haut, elle me susurra dans un sourire attendri :

- « Branle-toi… Je n’ai jamais vu un homme se branler devant moi .. »

Au comble de l’excitation, bien que surpris, je serrais instinctivement ma verge entre mon pouce positionné-dessus, juste à la limite de mon gland et l’index et le majeur au niveau du frein. Je me masturbais de cette façon depuis toujours et si j’avais développé d’autres techniques depuis, cette façon de faire se révélait la plus naturelle pour moi.

Entièrement nu, debout, je me masturbais donc face à elle, ma verge pointée dans sa direction. Sous le fin tissu de ma peau, sous la grosse veine bleutée qui courait tout du long, mon sexe était dur comme du bois. Un mince filet de liquide séminal, ce lubrifiant naturel, gluant et translucide, que mon corps, mon sexe, produisait toujours en grosse quantité lors de mes érections, commença à se répandre sous mon gland, puis s’étira mollement vers le sol.

Mes yeux rivés sur la créature qui me faisait face, sur les mouvements de ses doigts s’activant sous le tissu de sa culotte, je me masturbais docilement, intérieurement heureux de l’impudeur de cette scène malgré une gêne dont j’avais vaguement conscience.

Puis ses doigts s’extirpèrent de la culotte, allèrent rejoindre sa bouche pour les lécher tout en fixant mon regard. Ils redescendirent ensuite vers son intimité pour caresser de plus en plus fermement le renflement sous le tissu que je voyais s’humidifier de sa mouille.

Après s’être caressé un moment, la kiné empoigna un côté du triangle de tissu trempé et tira dessus me dévoilant ainsi sa vulve luisante, d’un rose délicieusement nacré. Maintenant d’une main le tissu afin qu’il reste en place, l’autre main s’affairait sur ses lèvres entrouvertes qu’elle emprisonnait sous ses doigts, les titillant, les tiraillant doucement entre ses doigts. Son majeur glissa le long de sa fente, remonta et descendit plusieurs fois puis tournoya en petits cercles sur le pourtour de son clitoris que je percevais fugacement, me faisant penser à une petite perle.

A la voir s’abandonner ainsi, les yeux mi-clos, la tête presque posée sur son épaule, des frémissements coururent le long de mes cuisses, une onde de chaleur traversa mon ventre, mes cuisses et mon sexe turgescent que je continuais à branler, en le serrant de plus en plus fermement.

- « Viens prés de moi, me fit-elle en haletant légèrement, ne jouis pas encore. »

Je me rapprochais, ma verge tressautante et levée à hauteur de son visage. Sa main moite de mouille s’en empara, la branla un instant puis la conduisit vers sa bouche dans laquelle les deux tiers de mon sexe disparurent. Langoureuse, sa langue tourna autour de mon gland, le couvrit de sa salive brûlante et velouteuse. Prisonnier de sa gorge, je haletais tandis que ses deux mains caressaient alternativement mes fesses et mes reins. Mon corps tout entier se raidissait sous l’effet de ces caresses conjuguées.

Mais je ne tiendrais pas longtemps comme ça, je le sentais, mon plaisir n’allait pas tarder à exploser : j’allais me répandre dans sa bouche, sur sa langue exploratrice et enveloppante. Mais c’était trop tôt, je voulais prolonger le plaisir le plus possible, indéfiniment si cela avait été possible. La kiné pressentit aussi l’imminence de l’éjaculation. Tout en gardant mon membre en elle, elle étrangla alors la base de mon sexe, juste au niveau des bourses, le serra fort, fort pour réfréner le flot de sperme qui ne demandait qu’à jaillir. L’opération se révéla efficace. Ses lèvres quittèrent mon sexe comme prêt à exploser et, sinon, une coulée de ma semence épaisse, compacte, qui s’échappa pour aller sinuer sur sa joue, la nécessité de jouir retomba en même temps que mon membre qui s’amollit un peu entre ses doigts.

En même temps que sa main caressait fermement mes couilles, la kiné ramena du majeur le sperme se trouvant sur sa joue jusqu’à ses lèvres et me présenta sa bouche, grande ouverte sur sa langue baignée de ma semence. Je m’exécutais. C’est cela que j’aimais avec elle, cette propension qu’elle avait de toujours vouloir mélanger nos fluides intimes par le biais de ces baisers profonds et sensuels qu’elle réclamait silencieusement comme pour souder la complicité de nos jeux sexuels. La semaine dernière comme aujourd’hui, le fait se vérifiait : elle aimait boire mon sperme, mais je devais toutefois partager avec elle. Et je ne m’en plaignais pas.

Le baiser dura une longue minute, moi penché sur elle toujours assise, elle toujours malaxant mes testicules et ma verge tandis que mes mains parcouraient les globes de ses seins menus mais fermes.

C’est moi qui interrompit le premier le baiser. Ce que je voulais maintenant, c’est découvrir son sexe, cette fente rosée et humide depuis trop longtemps inaccessible, au regard comme au toucher. Avec une audace qui me surprit moi-même, moi, le jeune homme un peu timide, je la soulevais en la prenant par le dessous ses cuisses et par la taille, et l’emmenait sur la table de massage où je la couchais sur le dos. Je n’eus à cette initiative aucune forme de protestation de sa part.

Là, je la posais et m’empressais de retirer sa culotte que je fis glisser jusqu’à ces chevilles puis que je lançais au hasard dans la pièce. Je soulevais ensuite ces cuisses les ramenant complètement en arrière, ses genoux presque sur ses épaules et observait, admiratif. Sa vulve était épilée sur toute sa longueur, ce qui devait être assez rare à l’époque. Elle me paraissait dodue, gorgée de désir. J’admirais la beauté naturelle des nombreux replis de ses lèvres, plus brunes que le reste de sa peau, les grandes mais aussi les petites qui, à ma grande joie, pendaient légèrement comme les pétales délicats d’une fleur magnifique. 

La vue de son anus offert, au pourtour sombre et lisse, intensifia plus encore mon excitation. Je voulais le découvrir aussi, le goûter, y enfouir ma langue pour le fouiller sans le mettre à l’écart de ma gourmandise. Ce que je voulais, c’est me repaître de son intimité la plus profonde, la boire, m’en repaître goulûment même, pour m’en enivrer. M’agenouillant au bout de la table, maintenant toujours ses jambes en arrière, je commençais de donner des petits coups de langues sur les pourtours de la vulve, le derrière de ses cuisses, puis la région anale. Sur ma langue, pénétrant la première fois l’intérieur de son vagin, éclata une saveur adorablement acide et sucrée tout à la fois. 

A fleur de peau, la kiné se trémoussait sur la table, par petites secousses, non pas que la jouissance la gagnait déjà mais parce qu’elle imaginait déjà tout ce que j’allais lui faire dans les prochaines minutes et les prochains jours …

Mais la relation que j'entamai avec elle, les rapports sexuels débridés que j'eus avec elle par la suite seraient bien longs à décrire. Je peux juste vous dire qu'ils durèrent environ 6 mois, jusqu'à ce que nos relations ne s'espacent progressivement avant de s'interrompre complètement, sans raison précise.

 Aujourd'hui, je sais qu'elle exerce encore à Grenoble, à une autre adresse, et je me dis parfois qu'un bon massage me ferait du bien.

 Peut-être un jour...

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Lundi 17 septembre 1 17 /09 /Sep 17:17
Marlène 12 - Combat de femmes

La blonde Marlène et la brune Agnès se font face.

Cela fait plusieurs semaines qu’une sombre histoire de séduction supposée des partenaires oppose les deux amies et parfois amantes.

En arrière plan, Simon et Yves, leur compagnon respectifs ne font attention qu'à eux.

Les deux femmes cherchent chacune à faire craquer l'autre. Marlène s'est placée bien au fond du canapé, faisant ainsi ressortir un peu plus sa poitrine. Les aréoles sont bien visibles. Par de petits mouvements, elle laisse la laine vierge de son pull lui caresser les tétons, ce qui les fait rapidement durcir. Ceux-ci deviennent alors nettement visibles au milieu des taches brunes des aréoles. Marlène esquisse un léger sourire narquois. En face d'elle, Agnès a tout vu de ce manège et se mord les lèvres pour rester calme.
Agnès réplique en s'enfonçant un peu dans le fauteuil où elle s'est assise. Cela a pour effet de faire remonter sa jupe. Lentement, elle écarte légèrement les cuisses pour donner à Marlène une vue sur son min-string en dentelle blanche très ajourée. Agnès sourit, sure d'elle, satisfaite d'avoir osé le faire face à celle qu'elle déteste.

Malgré tout, Marlène ne se démonte pas, elle sourit aussi. Elle entrouvre également les cuisses laissant apercevoir son entrejambe. Marlène n'a pas mis de culotte. Agnès peut aisément distinguer le bas de sa vulve, sûrement parce que ses poils blonds ne doivent pas cacher grand chose. Marlène exulte et Agnès ne sourit plus.

La brune s'enfonce encore plus dans son siège et écarte les jambes, la dentelle de son dessous est maintenant bien visible et même les chairs chiffonnées par la pression du tissu. Elle espère que Simon pourra la voir, mais trop occupé par sa conversation avec Yves, il n'y fait pas attention.
Marlène répond à cela en remontant également sa jupe. C'est maintenant toute son intimité qui est bien visible. En fait, ce ne sont pas ses poils blonds qui dévoilaient impudiquement sa vulve, mais une épilation stricte et nette, elle n'a laissé qu'un petit triangle blond comme les blés sur le mont de Vénus.

Yves s'en rend compte. Son regard éberlué se fixe sur le sexe de la femme de son copain. Il est comme captivé par cette exhibition. Simon, voyant que Yves ne l'écoute plus tourne la tête et voit lui aussi le bas ventre de sa femme offert aux regards de tous. Il est surpris que cette joute aille si loin, mais est aussi assez excité de la situation.
Agnès est dégoûtée. Non seulement Marlène va encore plus loin qu'elle mais en plus les deux hommes sont scotchés. Yves et Simon se sont rapprochés pour discuter à voix basse.
- J'aurais dû m'en douter.
- Moi aussi... Elles sont complètement folles.
- Oui …

Agnès se penche alors brusquement en avant et saisit une coupe de biscuits apéro, dont le fond est plein de miettes. Nonchalamment, elle en propose aux convives, personne ne répond. Elle poursuit le mouvement circulaire qu'elle avait entamé pour en proposer. Quand elle arrive devant Marlène, Agnès fait volontairement un faux mouvement, les biscuits tombent de la coupe et les miettes arrivent en plein sur le bas ventre de Marlène. Agnès fait semblant de s'excuser.
- Qu'est-ce que je suis maladroite.
Marlène n'est pas dupe et lance un regard de haine à Agnès. Cette dernière ne se démonte pas.
- Attends, je vais nettoyer tout ça.
Agnès commence par retirer les biscuits et les miettes tombées sur le canapé. Elle frotte ensuite ses mains sur les cuisses nues et serrées de Marlène pour en retirer les miettes. Ses gestes sont lents et ressemblent plus à des caresses qu’à un effort de ménagère. Elle va ensuite sur le pubis blond et passe ses doigts à travers la touffe blonde et triangulaire de Marlène pour y récupérer quelques éclats de biscuits. Passant ses doigts dans les poils à la façon d'un peigne, en descendant. Ses doigts arrivent ensuite autour de la fente toute lisse et bien fermée de Marlène. Elle leur fait suivre le sillon du sexe de Marlène de haut en bas puis de bas en haut. Marlène vibre sous cette caresse, sa langue passe sur ses lèvres. Agnès n'est pas encore satisfaite.
- Il reste encore des miettes.
Agnès met deux doigts dans sa bouche et les suce lentement tout en les faisant entrer et sortir comme s'il s'agissait du sexe d'un homme. Yves et Simon restent ébahis devant ce spectacle inhabituel. Agnès revient alors sur la fente de Marlène avec ses deux doigts humides de salive et la parcourt afin que les miettes s’y collent. Elle remonte la main à sa bouche, nettoie méticuleusement de la langue les doigts pailletés de nourriture et les replonge vers le sexe clos pour achever le nettoyage.
Marlène n'en peut plus et, vaincue, écarte légèrement les cuisses. Agnès, en vainqueur, peut alors descendre ses doigts encore plus bas, frôler le périnée lisse si sensible et remonter en pénétrant légèrement la vulve tiède et humide de Marlène.

Elle replonge à nouveau vers le bas du sexe et, en remontant, débusque les petites lèvres, les dégage et les étire un peu de la pulpe des doigts pour mieux les admirer et les caresser. Elle plonge au creux du volcan humide, remonte, faire le tour du clitoris, pour finir par la pénétrer de ses deux doigts en crochet. Elle leur imprime un lent mouvement d’avant en arrière, profond, méticuleux, ne lâchant pas des yeux ceux de sa rivale soumise à son désir. Pendant que son pouce pétrit fermement le petit bouton de chair si tendu, la pulpe de ses deux doigts en crochet ne manquent pas de masser fermement le point G contre l’os dur de son pubis A chaque passage, cette petite zone grosse comme une pièce de deux euros, s’arrondit et se gonfle un peu plus, provoquant de suaves ondulations de hanche de la belle blonde.

- Il reste toujours des miettes, remarque Marlène d’une petite voix, peut-être qu'avec la langue …
- Pourquoi pas ? Acquiesce Agnès,

Yves et Simon, bouche bée, se penchent en avant pour ne rien perdre de la scène. Agnès s'avance vers Marlène, s’agenouille entre ses jambes, lui écarte largement les cuisses de deux mains décidées. La souplesse de la blonde danseuse lui permet de gratifier l’exploratrice d’un large grand écart. La brune conquérante approche son visage, ouvre ses lèvres pulpeuses sur les grosses lèvres écartelées de Marlène. Se ravise, avance la main prés du sexe offert, attrape une petite lèvre du bout de ses longs ongles vernis de rouge vif, tire lentement pour les faire apparaître entièrement et fait subir le même sort à sa jumelle. Elles les lisse alors de la pulpe du doigt sur le côté des grosses lèvres glabres. Les sécrétions de la belle les retiennent collées sur l’extérieur de la vulve lisse, formant ainsi un superbe papillon ouvert de chairs rosées.

Agnès approche alors son visage de nouveau, pointe de la langue en avant et lui lèche enfin le sexe à grands coups. Elle repasse bien partout, suce le clitoris dressé et fait pénétrer sa langue dans le vagin. Marlène se cambre et ondule de tout son corps. Elle se caresse les seins à travers son pull-over, ses tétons ont encore grossi, elle les prend entre ses doigts et les fait tourner toujours à travers le fin tissu de laine.

Yves et Simon sont stupéfaits de spectacle et sont devenu cramoisis.

 

Marlène termine de déboutonner le chemisier d'Agnès. Quant à la brune, elle a choisi de redescendre le pull de Marlène pour lui caresser les seins à travers le tricot de laine.
Reprenant la main, Marlène se penche vers Agnès, la repousse de la main et la force à s'allonger sur le dos sur l’épais tapis de laine blanche. Elle lui soulève sa jupe, agrippe de ses ongles acérés la fine dentelle et l’arrache d’un coup sec qui fait sursauter l’assistance. Elle découvre une vulve ronde, lisse et parfaitement bronzée. Elle est bien bombée, voir dodue, fendue bien au milieu et très haut par un sombre sillon de chair mat. Seul un fin rectangle de poils bruns, taillé très raz surmonte la colline aux merveilles. Tout comme elle.
Marlène retire complètement la jupe tout en remarquant :
- Je vois que nous avons un point commun ! fit elle en fixant d’un air gourmand les lèvres glabres.
Marlène se penche vers l'entrejambe d'Agnès et, avec les doigts et la langue, elle se met à prodiguer à Agnès toutes les bonnes choses que cette dernière lui a fait auparavant. Elle commence par caresser le pourtour lisse du sexe avec la paume de sa main, puis avec les doigts, elle joue un instant avec les poils courts dressés sur le mont de Vénus, puis vient les promener sur la fente profonde. Agnès sans plus attendre déplace sa jambe loin sur la table basse pour bien s'ouvrir aux caresses de Marlène. La blonde admire un instant le tableau de ce gouffre rouge sombre qui s’ouvre devant elle. Les deux grosses lèvres pulpeuses se sont écartée pour découvrir une caverne profonde, rouge sombre et luisante. Deux petites nymphes très brunes et finement dentelées encadrent le cratère comme deux sentinelles en alerte. Un petite cascade de Cyprine s’écoule lentement de l’orifice ouvert, glisse sur le périnée et enduit largement l’auréole sombre de son fondement. Elle décide de maîtriser les deux gardes immédiatement en les gobant des lèvres et en les écartant sans ménagement de la langue afin de plonger vers la lave en fusion de son vagin offert.

La belle brune plantureuse ondule du bassin, se cambre et tente d’aspirer un peu l’air qui semble lui manquer.

Poussant son avantage, la blonde sculpturale plonge sans hésitation trois doigts d’un coup au fond du vagin de sa conquête, tout en lui aspirant violemment le clitoris avec la bouche, lui faisant exhaler un râle et un sursaut de plaisir.

Avant que la « petite mort » ne saisisse Agnès, Marlène se retourne, enfourche son destrier de plaisir et applique avec fermeté sa vulve trempée et impatiente sur la bouche encore ouverte de la crucifiée, dans un « 69 » des plus classiques. 

En quelque secondes, la bête à deux tête se met à ruer et à gémir tout sens. Les peaux brune et blanche se mélangent, les odeurs et les sueurs s’émulsionnent dans un cocktail explosif.

Soudain, la détonation éclate. Dans un double cri rauque et plaintif de mise à mort, les membres des deux belles s’entremêlent et se tordent en tout sens dans une jouissance simultanée et intense.

Yves et Simon sont resté bouche bée devant cette scène primaire, animale mais forte.

Les deux femmes se sont effondrées l’une sur l’autre. Marlène gît bouche ouverte sur la vulve lisse d’Agnès, un fin filet de salive glissant entre les pétales brunes. Quelques unes de ses mèches blondes se mêlent et se collent aux poils bruns du pubis de sa partenaire. Agnès, essoufflée et à peine consciente, mâchouille encore mécaniquement les petites lèvres fines et transparentes de son bourreau.

La joute est terminée. Avec deux vainqueurs.

Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 18:21
Prisonniers sur la plage
 

La plage est longue et belle. En juillet, Tarifa est le paradis des planchistes et des Kite surfeurs.

Mais aujourd’hui c’est « pétole », comme on dit dans le jargon de la voile.

Déçu mais pas abattu, je fais contre mauvaise fortune bon cœur : j’en profite pour me mettre à l’aise sur une portion de plage fréquentée par les naturistes. J’adore sentir les rayons brûlants du soleil caresser mon corps nu et jouer avec mon entre-jambe. Et puis, y-a-t-il quelque chose de plus agréable au monde qu’un bain dans une eau turquoise à 28 degrés et en tenue d’Adam ?!

 

La nature est versatile, surtout à cette pointe de l’extrême sud de l’Europe. Le vent y est souvent fort mais très capricieux.

Nonchalamment endormi, je n’ai pas aperçu ces quelques nuages s’amonceler à l’est. En fait, beaucoup ont vu tourner le temps et se sont déjà enfui de la grande plage.

Moi j’y dort paisiblement, avec quelques autres.

Quand le sable commence à me cingler les fesses, il est un peu tard pour se replier tranquillement vers le camping car. J’opte plutôt pour un replis stratégique vers la toute petite crique du cap de Tarifa, à 200 m d’ici.

Aveuglé par le sable, je cours me mettre à l’abri de ce beau pic rocheux.

Cet abri est la seule issue rapide et nous nous y retrouvons vite un bonne cinquantaine de toutes obédiences : naturistes en majorité, mais aussi quelques « textiles ».

Chacun attend la fin du coup de vent, qui souffle maintenant sans doute à prés de 80 km/h, vu les sifflements des lignes électriques qui nous surplombent pour alimenter le phare.

Comme tout le monde, je m’assois tranquillement sur ma serviette et prend mon mal en patience.

La jolie rousse « textile» est arrivée en courant elle aussi, essoufflée, couverte de sable et vaguement inquiète. Elle a posé sa serviette juste devant moi, à 20 cm pour être précis. De toute façons elle n’avait pas beaucoup le choix vu la promiscuité actuelle en ces lieux. Elle me lance un petit sourire, un peu gênée d’être en maillot au milieu de tout ces naturistes. Et elle s’allonge sur sa serviette à côté de sa copine, une brune plantureuses et très bronzée ne portant qu’un minuscule string clair. De ma place, je peux voir le superbe renflement de son pubis, manifestement parfaitement lisse, étirer au maximum les mailles translucides du fin lycra qui recouvre ses grosses lèvres plantureuses. Je dis « plantureuses » car la netteté de la chose est parfaite : une couture profonde et « bien étudiée » pique verticalement le string, coupe parfaitement en deux son sexe et sépare sa vulve en deux superbes quartiers d’abricot gonflés de sève. C’est le genre de « maillot » plus indécent qu’une nudité totale.

Les deux amies discutent un peu ensemble mais je ne parviens pas à comprendre malgré ma proximité : les cris aiguës du vent emportent la plupart des mots. Il semble s’agir de marque de bronzage et du mauvais effet sur les robes décolletées.

La belle rousse, regarde autours d’elle, me fait un petit sourire tendu, en papillonnant de ses beaux yeux verts et semble se laisser convaincre.

Elle défait dans son dos le nœud de son haut de maillot et le laisse filer sur le sol, comme à regret, pour s’allonger sur le dos à mes pieds, les yeux fermés, la mâchoire un peu crispée.

Elle a bien fait, le spectacle est des plus agréable.

Deux superbes seins parfaitement ronds, pointent fièrement leur fermeté vers le ciel azur torturé de vent. Les rondeurs généreuses sont surmontées d’une petite aréole très pâle, et s’achève sur un téton si fin qu’il en paraîtrait presque masculin. Le tout est d’un blanc de lait, parsemé de superbes tâches de rousseurs fauves. J’observe un moment ces deux splendeurs se soulever lentement au rythme de la respiration de la belle. Mon regard glisse entre les deux globes, suit un petit chemin de rousseur vers son nombril et découvre une splendeur …

La belle a les hanches confortables et le ventre plat et musclé. Dans cette position allongée, le petit maillot bleu trace une ligne horizontale à 3 bon centimètres de la peau de son bas-ventre. Le tissu bleu un peu usé, n’en est que plus fin. Il laisse largement transpercé les rayons du soleil encore très verticaux, laissant à la vue du mieux posté (c’est moi !) un charmant paysage.

Assis je peux suivre le fin duvet sous le nombril s’enfoncer sous le maillot et s’épaissir subitement à la lisière d’une forêt fauve de toute beauté.

Fasciné, je m’accoude vers l’arrière pour suivre un peu plus loin cet examen.

L’angle de vision est meilleur et me permet de voir que la forêt est en fait réduite à une simple bande de 2-3 cm de large, qui remonte brutalement au niveau du pubis pour effleurer le tissus translucide et plonger vers de sombres délices …

Emoustillé par tant de splendeurs juvéniles, je m’allonge entièrement sur le dos, ferme les yeux et glisse vers une somnolence emplie de gazons bénis de toutes formes et couleurs…

 

Une rafale un peu plus forte me projette un peu de sable sur le visage et me réveil en sursaut.

Ha oui, le coup de vent n’est pas terminé. Et où en est ma roussette pensai je immédiatement ?

Il me suffit de lever un peu la tête pour remarquer que la belle est allée prendre un petit bain entre temps, de petites perles de lumière et d’eau sillonnent sa peau. Mais se sont ses pieds qui me font face cette fois. Je relève encore un peu plus le nez et découvre que sa copine a du être très persuasive : aucun tissu ne couvre dorénavant le corps des deux nymphettes.

La brune exhibe bien, comme imaginé tout à l’heure, un splendide pubis rond, plein et … parfaitement glabre. Quelques gouttes d’eau salées perlent encore entre ses grosses lèvres dodues et glissent lentement dans le secret de sa vulve hermétiquement close.


Ma roussette est toujours bien en face de moi, jambes parfaitement serrées. Cela me permet d’observer toutefois le mignon ticket de métro flamboyant qui orne le sommet de son pubis. Ce qui me surprend le plus, c’est l’extraordinaire protubérance du pubis. Bombé comme une orange bien mur, il se fend rapidement, à la lisière du poil taillé net à l’horizontal, en deux coussinets rosés qui plongent dans l’entrecuisse, hors de ma vue.

Merveilleux !

Afin de mieux profiter du spectacle, j’imagine une petite stratégie simple et efficace. Je me lève pour piquer une tête à mon tour. En passant, ma nymphette ouvre un œil, tente de ne pas regarder mon sexe qui se balance sous ses yeux et m’adresse un petit sourire. Son œil d’un beau vert émeraude, semble briller d’une malice que je n’avais par remarqué tout à l’heure. A mon retour prés de ma serviette, je m’allonge sur le dos mais dans l’autre sens, ce qui dispose ma tête à moins de 30 cm de ses pieds. Au bout de quelques minutes, je me retourne bien évidemment sur le ventre pour la suite du spectacle…

Et je ne sui pas déçu.

Les pieds ne sont plus aussi fermés et un espace de quelques centimètres me permet de découvrir une très belle perspective. Le pied fin de la belle se prolonge par une jambe lisse et délicatement raccordé à un genou doux et rond. Les muscle nerveux de la cuisse s’insèrent avec naturel à l’aine bordée de fauve. Je vois distinctement cet espace si doux et si sensible, entre la cuisse et l’aine, où bas le sang en saccade qui soulève la peau chaque seconde.

Et surtout au centre, je vois la suite du sillon clair de sa vulve. Compressées l’une contre l’autre, les grosses lèvres forment deux bourrelet d’albâtre proéminents et lisses. Je suis si prés que je peux deviner que la belle ne se rase pas : la perfection de l’épilation des lèvres ne peut être faite qu’à la cire. Courageuse !

Dort elle ?

Un petit sursaut réflexe de sa jambe me le confirme. Les muscles se détendent sans doute dans son assoupissement. Ma nymphette se tourne légèrement sur la fesse droite et replis un peu la même jambe sur le côté, semblant oublier ma présence.

La pression protectrice des grosses lèvres n’est plus parfaite. Une petit crête de chair, d’un rose très pâle dépasse maintenant d’un bon centimètre. J’admire la fine dentelle translucide de cette petite lèvre livrée à mon regard voyeur. Elle poursuit son échappée de son antre protecteur et se laisse accompagner de sa consœur et jumelle, tout aussi ravissante.

Les deux pétales éclosent lentement sous mes yeux et révèle, au cœur du papillon humide, une perle ovale qui se niche à leur sommet. Rose sombre, gonflé et luisant, ce superbe clitoris trahirait-il une certaine excitation de ma belle rousse ? !

 

Une ultime rafale nous couvre tous d’une dernière couche de poudre de sable.

L’agonie de la colère d’Eole est à son paroxysme. Le sable redevient soudain calme et brillant, le bruissement des vagues chante de nouveau tranquillement alors que les cinquante rescapés de la tempête se lèvent presque en même temps et s’ébrouent.

La brune prend sa rousse de copine par le bras et, nues, elles prennent un dernier bain en riant avant de suivre la petite troupe qui se met en marche. Au bout de quelques pas, la belle rousse tourne la tête, me projette son beau regard vert tendre et malicieux au visage et me sourit largement …

Je garderai toujours en mémoire, le balancement léger de ses fesses nues alors qu’elle s’éloignait à jamais.

 
 
Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 15:10
La fessée
 
 

Un vieux lycée anglais moisi, en pleine campagne, un vieux bâtiment de pierre du dix-huitième siècle, aux parquets cirés, aux grandes fenêtres, aux salles hautes, aux longs couloirs…

Tout semblait morne dans cette vieille institution vouée à l’éducation de jeunes filles issues de la bourgeoisie ou de l’aristocratie britannique. Un endroit où l’on était censé, les éduquer à être de parfaites épouses…

L’austérité à l’état pur, en pleine verdure…
L’hiver, la neige en cette fin d’après midi de février…
En plus, le vieux bâtiment était mal chauffé… Bref, ici on avait froid.
 
Katarina avait été convoquée dans le bureau du professeur principal.

Pour elle c’était l’année du bac, et elle venait d’avoir ses dix-huit ans…

Ensemble, ils devaient faire le point, il était dix-sept heures et elle frappait doucement à la haute porte en chêne.

Une voix lui ordonna d’entrer.
 

Katarina avait été placée là par ses parents depuis 2 ans. D'origine russe elle avait la pâleur et la silhouette longiligne et pulpeuse de sa slave de sa mère.

De son père elle avait hérité cette facétie perpétuelle qui lui avait value quelques problèmes dans son lycée d’origine en d'ukraine.

Renvoyée plusieurs fois, son père l'avait alors mis en pension à Bridgestone. Au fin fond de l'Angleterre...

Katarina était une grande jeune femme, au charme affirmé, aux cheveux blonds avec des reflets presque blancs, mi-longs, aux traits fins, aux yeux bleus un peu en amande, à la poitrine déjà lourde. Bref, elle faisait de l’effet, et plus d’un garçon devait rêver de la séduire… Malgré l’hiver, elle était en jupe courte bleu marine mais en cuir, seule entorse au règlement, des bas, et des bottes montant jusqu’au genoux. En haut, un chandail de laine recouvrait un chemisier blanc réglementaire. Une vraie femme déjà, aux fesses que l’on devinait musclées, au seins ronds et fermes et au charme animal mais racé.

Derrière, un lourd bureau de style Empire se trouvait le professeur Jack London, long comme un chewing-gum que l’on aurait étiré,   le cheveu en brosse, des grandes lunettes en métal, un sourire ambigu aux lèvres. Il aurait peut-être eu du charme sans son éternel costume noir. Seule petite originalité, une cravate en cuir de la même couleur, fine et élégante.

-       « Bien asseyez-vous, nous devons parler de vos résultats, qui sont très irréguliers et j’aimerai comprendre », dit-il en lui indiquant une chaise de paille.

Elle s’assit prestement, d’un mouvement souple, en relevant légèrement sa jupe de façon ce qui lui fit bien sentir le piquant de la paille sous ses fesses.

-       « Vous êtes en terminale scientifique, et vos résultats dans ces domaines sont excellents, vraiment excellents… Par contre, en philosophie, en histoire-géo, en langue, vous atteignez la nullité absolue ! Expliquez-moi ! » lança le professeur.

-       « Ces matières ont du mal à me motiver, monsieur le professeur, je les travaille, mais je sais pas », répondit doucement Katarina.

Le professeur marqua une pause, une hésitation, une longue respiration, suivie d’un léger pincement de lèvres.

-       « Etes-vous sûre de travailler ? Ce n’est pas l’impression que vos devoirs donnent, pas du tout ».

Katarina brièvement s’imagina déjà punie, les fesses à l’air prête à recevoir le châtiment corporel, courant dans ce pays.

Cela faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé, trop longtemps peut être ...

Sa gorge se noua, elle sentit son visage s’empourprer, et son sexe s’humidifier.

Délicieuse sensation.
Elle fit la bonne réponse :

-       « C'est que ... oui ... peut être n'ai-je pas été assez concentrée ces derniers jours ...»

-       « Allez mademoiselle, vous connaissez la sanction ! Relevez donc votre jupe, » dit le professeur d'un ton sec.

Elle frémit, tressaillit de plaisir. Elle se releva lentement, essayant de masquer son trouble.

Face à son professeur assis, d’un geste faussement maladroit, elle releva le cuir de la jupe sur ses reins, d'un bras elle maintint le tissu et se courba en avant en posant l'autre main sur le bord du bureau sombre et froid marqueté d'acajou, veillant à offrir son décolleté au regard de l’homme assis ...

Il admira la rondeur de la poitrine qui pendait devant lui. Le chemisier avait deux boutons ôtés ce qui lui permettait de voir le profond sillon se perde vers son ventre. Il savait la petite excitée par la situation : ses tétons pointaient outrageusement et marquaient nettement son corsage tendu.

-       « Il manque quelque chose !" dit-il en élevant le ton ...»

Elle se redressa, crocheta le fin élastique de son sous-vêtement et baissa les yeux tout en faisant choir le mince morceau de coton blanc qui lui servait de slip.

L’homme se leva et se mit à tourner autour d’elle, il jeta un oeil connaisseur en direction de ses reins cambrés, l’effleurant, puis laissa sa main traîner longuement du côté pile, flattant avec satisfaction la peau très douce du ventre. Il se baissa pour mieux voir si Katarina avait bien respecté les consignes de la punition du mois dernier : oui, son sexe semblait parfaitement épilé.

Katarina sentait le souffle chaud de son professeur sur son sexe et tremblait légèrement d’excitation et de peur.

Il voyait le ventre bombé former une petite bosse dodue au niveau du pubis et plonger rapidement vers le sombre secret de son intimité lisse. Les grandes lèvres fendaient très haut le pubis et ne pouvaient cacher de superbes petites lèvres roses, finement dentelées qui débordaient naturellement de la vulve déjà brillante.

Quel beau sexe, parfaitement glabre, jeune, frais, et qui pourtant avait déjà du recevoir un certain nombre de males avec leurs petits, ou leurs gros mandrins… 

Sur qu’Emma préférait les gros mandrins agiles, avec des réserves bien juteuses...

On dirait un abricot, bien doux, sucré, gorgé de jus.

Il avança l’index, l’appuya au niveau du haut de l’aine et descendit doucement en suivant le sillon naturel du plis de la cuisse. Il longea le tendre fruit mur fendu et en poursuivant effleura les petites lèvres qui dépassaient généreusement. Katarina ferma les yeux et se pinça les lèvres…

Le professeur découvrait un spectacle ravissant : les cuisses musclées se rejoignaient l’une contre l’autre un peu plus bas, laissant un petit triangle d’espace libre juste sous le sexe. Il y engagea son doigt aussi loin que possible, sans rien toucher, le posa enfin prés de l’anus et remonta doucement vers l’avant pour caresser au passage l’entrebâillement des fines crêtes de chair rose qui pendaient. Son doigt ressortit gluant de cyprine. Il approcha les yeux : de fines perles de liquide clair étaient parfaitement visibles et sourdaient des profondeurs de son ventre. Les jambes de Katarina tremblaient de plus belle.

En souriant, le professeur se rassit, la détailla encore quelques instants avant de lancer doucement :

-       « Viens sur mes genoux, fesses sur ma droite ».

Après une légère hésitation,   les yeux baissés, Katarina contourna le bureau et se glissa en souplesse sur les genoux du professeur.

Tête en avant, cheveux dans le vide, seins tirant le chemisier tendu, jambes touchant à peine terre, cul proéminent, véritable aimant pour une main d’homme.

Main d’ailleurs, qu’elle sentait pétrir successivement, chacune de ses fesses délicates, encore blanche mais qui n’allait plus tarder à rougir.

Une main douce, qu'elle sentait grande et protectrice. Une main qui lui pétrissait les fesses, comme le boulanger pétrissait la pâte. Oui c’est cela sa chair, était de la pâte… Une pâte qu’on malaxait avant de la frapper. A chaque mouvement des mains, elle sentait ses globes fermes s'écarter et dévoiler son petit oeillet sombre, lui aussi était parfaitement lisse, le professeur devait être pleinement satisfait.

Une main comme celle qui lui caressait simultanément la nuque avec délicatesse...

Et soudain, la première claque sur la fesse droite, sèche, forte, violente.

Et une deuxième pour la jumelle. L’alternance était respectée.
La chair tremble.

Vlan ! Et Vlan ! Encore. Un rythme, une cadence. Et puis au lieu de la claque cinglante attendue, une douce caresse, la peau d’une main d’homme qui caresse la peau d’une fesse de femme.

Katarina avait les yeux et le sexe dans le même état : ruisselants.
Le bonheur d’une fessée, aussi fort qu’une bonne saillie, voir plus.

Bonheur aussi pour celui qui donne, jouissance mentale aussi forte que celle d’une pipe royale, à genoux, comme celles que les lèvres et la langue de Katarina devaient savoir dispenser.

Et puis, maintenant, la séance de tam-tam. Les deux mains claquaient légèrement, caressaient, frôlaient en rythme. Le cul de Katarina était un tambour. Elle était un tambour, un tambour qui pleurait, qui gémissait.

De bonheur ou de douleur ? Si l’on en croyait le sourire et les larmes, les deux.

Une sensation amplifiée, parce qu’elle sentait sous le tissu. Un bâton raide, gonflé, lourd.

Et puis un dernier coup, lourd, violent.
Et puis une main douce câline, qui écarte doucement une fesse.

Et puis un doigt qui caressait lentement la fente ruisselante et entrouverte, qui plongeait loin entre les lèvres écartées, revenaient vers le petit oeillet sombre et crispé, l'agace de l'ongle, replongeant à nouveau encore plus loin et encore plus profond, écrasant tout en bas le petit sentinelle dressé sous son capuchon.

Et puis, une fois son ventre posé directement sur la paille piquante du siège, une langue qui refait le même parcours, titille caresse et plonge dans le secret de ses fesses rougies ... Cette délicieuse sensation d'être fouillée, ces doigts qui s'insinuent partout comme des anguilles avides de chair.

Et des baisers… Longtemps…
Un cri, une secousse… La jouissance brutale, totale… Le coma...

Dans un nuage elle n’avait pas vu le temps passé, il était déjà dix-huit heures.

Elle allait sortir.

-       « Demain même heure, rendez-vous ici. Demain matin tu as un contrôle d’histoire. Si tu as une mauvaise note, ce sera encore une punition. Par contre, si pour une fois tu as la moyenne la récompense sera à la hauteur, et tu auras le droit de choisir ».

Elle rougit à nouveau, pour une fois elle allait essayer de faire bien. Et elle savait ce qu’elle voudrait en récompense. Déjà, elle s’en léchait les babines.

Et pour bien le faire savoir, avant d’ouvrir la porte, elle se tourna vers le professeur Jack London, l’air effronté et rebelle. Lentement elle lui mit dans la main le chiffon cramoisi de sa culotte blanche et sortit en se caressant les lèvres de la langue ...


Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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Vendredi 2 mars 5 02 /03 /Mars 17:46
Marlène 11 – Saphisme en club.
 

Ce soir, Aminata est venue dîner avec nous.

Son mari est en déplacement et j’en ai profité pour inviter cette superbe créature qui habite depuis quelques mois dans le centre ville de Grenoble prés de chez nous.

Aminata est sénégalaise d’origine. C’est une superbe PEUL, aussi sombre de peau que je suis claire. Comme toutes les femmes de son ethnie, elle culmine à un bon mètre quatre-vingt et diffuse une grâce féline et fascinante. Très coquette, comme toutes les Africaines, elle porte ce soir de superbes chaussures à talons, lacées sur les mollets, qui projettent encore plus vers le ciel un postérieur déjà largement mis en valeur par une cambrure de reine. Le reste de sa tenue n’est malheureusement pas à la hauteur et sa jupe sombre et mi-longue ne met pas particulièrement en valeur ses formes voluptueuses.

Le dîner a été assez arrosé et la soirée touche à sa fin.

-          « si nous allions danser un peu, pour achever la soirée ? » lançais-je d’un ton de défi.

-          « Je vais plutôt rentrer, les petits dorment et je ne voudrais pas … »

-          « pas d’excuses ! Je sais que ta nièce est là pour s’en occuper et qu’elle les adore ! De plus tu n’as pas beaucoup l’occasion de sortir avec ton macho de mari, alors ne te fais prier, ça te fera du bien non ? »

L’argument a fait mouche et Aminata finit par accepter notre proposition. Je lui propose aussitôt une tenue plus adaptée à mes projets.

Je glisse un clignement d’œil à mon homme et nous nous rendons dans mon dressing, je choisis une longue robe de satin noir, ultra moulante, au décolleté plongeant et dont le dos est nu presque jusqu’aux fesses, seule une petite fermeture éclair discrète ferme le tout sur 30 cm au bas du dos. Par « chance » j’ai la même en blanc et je la propose à mon invitée. Elle rougit un peu et accepte devant mon insistance :

-          « nous serons très complémentaires ce soir, blanc et noir – noir et blanc ! »

Je me déshabille entièrement en un clin d’œil ne gardant que mon string arachnéen et enfile le fourreau noir que zippe d’un coup sec sur mes fesses. J’adore le contact du satin sur ma peau presque nue, la douceur froide du contact du tissu sur mes tétons entraîne systématiquement leur érection et je les sens pointer fièrement.

Aminata est resté là, me regardant sans rien dire, n’osant pas ôter ses habits.

-          « allez, à toi »

Elle relève prestement son chemisier sombre et découvre une splendide poitrine très ronde, enveloppée d’un soutien gorge de dentelle sombre. La jupe suit le même chemin et libère deux splendides globes fessiers traversés en leur milieu par le plus charmant des strings d’un blanc immaculé. Je ne peux m’empêcher de loucher un peu sur ces pommes fantastiques.

Un peu gauche, elle me tend la main afin que je lui donne la robe. Elle l’enfile et tente de fermer rapidement la fermeture au bas de ses fesses. Je m’approche pour l’aider, pose une main sur ses reins à la cambrure hallucinante et tire avec difficulté sur le zip qui finit par accepter de cacher tous ces trésors.

-          «  Et voilà » fit-elle en se retournant vers moi.

Je ne peux m ‘empêcher de rire ! Le soutien gorge déborde largement du décolleté et les fines bretelles sexy ne cachent rien des larges attaches du sous-vêtement.

-          « Il va falloir enlever tout ça » dis-je.

Je m’approche d’elle, fait glisser les bretelles de la robe pour découvrir son buste, passe derrière elle, dégrafe d’autorité son soutien gorge, le lui ôte prestement sans lui laisser le temps de protester et le jette loin sur le lit.

Ses seins ne sont plus soutenus mais n’ont presque pas bougé. Les deux « demi-pamplemousses » sombres se tiennent parfaitement tous seuls  en l’air. Par-dessus son épaule, mon regard ne s’en détache pas un instant. Je vois la respiration légèrement accélérée soulever les deux masses de chair en cadence et j’en découvre avec ravissement les pointes couleur nuit. L’aréole est large, mais c’est l’extraordinaire protubérance des tétons tendus qui me fascine le plus. On dirait deux énormes framboises granuleuses et un peu trop mures.

Aminata replace seule les bretelles de la robe et se retourne vers moi avec un sourire.

-          « Je n’ai pas l’habitude d’être dans cette tenue, ça me fait bizarre ! Comment suis-je ? » Dit-elle en tournant sur elle-même.

Sa silhouette est une injure à la décence, la longue fente de la robe découvre une bonne moitié de ses cuisses musclées et fuselées, tandis que ses seins magnifiques tendent le tissus à craquer, dévoilant largement le large sillon. Le contraste des couleurs accentue encore le profond décolleté qui sépare les deux mamelles et les dessine comme une belle paire de fesses. A ce petit jeu, je ne suis pas mal non plus. Ma cambrure n’a rien à voir avec celle d’Aminata, mais la fermeté de mes fessiers de danseuse se devine sous la tension du tissu. Le large sillon de mes fesses est nettement dessiné par le tissu, qui s’insinue même entre les globes clairs et charnus.

-          Je crois que nous sommes parfaites ! Allons-y !

Nous descendons ensemble, les escaliers et je vois bien à sa démarche saccadée et chaloupée que son habitude des talons hauts est modeste. Il faut dire que je lui en ai prêté une paire particulièrement vertigineuse, mais cela met si bien en valeur ses rondeurs postérieures …

Assise à côté de moi dans la voiture, sa robe s’ouvre naturellement jusqu’à l’aine, me permettant ainsi de prendre un petit acompte visuel sur son entrecuisse alors qu’elle regarde défiler les lumières tamisées par la brume de la ville endormie.

Nous nous arrêtons au « 2+2 », prés d’Aix les Bains, un club que nous connaissons bien avec mon compagnon Simon.

Ce que nous ne lui disons pas, c’est qu’il s’agit d’un club plutôt libertin ! …

Nous entrons ensemble, le portier nous fait un large sourire : il nous connaît bien et mon corps n’a d’ailleurs plus guère de secrets pour ses mains expertes …

Nous nous installons à notre table habituelle, très proche de la piste et dont le mur est tapissé de miroirs. L’ambiance est déjà assez chaude. Aminata et moi buvons en riant deux ou verres de champagne. La tête me tourne un peu maintenant et je suis persuadée qu’Aminata est dans le même état ! L’ambiance est maintenant un peu plus chaude sur la piste. Le DJ annonce un concours de tango langoureux « entre filles ». Une série commence et deux jolies brunes se lèvent et s’enlacent lascivement devant nous.

-          Nous n’allons pas rester plantées là ? Viens ! Lui dis-je sans lui laisser le choix.

Nous nous dirigeons vers la piste, elle, la black bien balancée, mo,i la blonde aux jolies formes et nous nous enlaçons sagement. Aminata reste un peu raide et éloignée. Je ne la brusque pas. Petit à petit elle se relâche et nos seins maintenant se touchent furtivement. Que les siens sont dures ! J’en sens les pointes sur les miennes comme deux crayons tendus à l’horizontal ! Notre tableau doit être plutôt sympa car beaucoup de regards nous observent. Nous virevoltons ensemble, entre-cuisse sur jambe, jambe entre cuisses. Sa robe blanche se balançant sur sa peau noire, ma robe noire découvrant ma peau blanche.

Je lui murmure à l’oreille que les deux donzelles de tout à l’heure dansent également très bien et que nous allons devoir faire mieux.

-          Que dois-je faire de plus ? me dit-elle,

-          laisse moi faire et fait à l’identique, répliquais-je,

Ma main droite quitte ses reins pour remonter dans son dos et caresser la peau nue. Après un instant d’hésitation elle se prête au jeu et fait de même. Ma main redescend vers le bas de son dos, saisie le fermoir et abaisse sèchement la fermeture éclaire de sa robe jusqu’au milieu de ses fesses. Elle étouffe un cri de surprise et se colle encore plus à moi comme pour se cacher. Les deux pans de tissus flottent maintenant de chaque côté de son postérieur et révèlent sans doute la blancheur de son string blanc que l’on doit voir disparaître rapidement au creux du sillon noir bien dessiné.

-          A toi !

Elle hésite un instant, porte la main au creux de mon dos, me jette un regard et abaisse également la fermeture avec un geste ferme qui me surprend par sa netteté et son enthousiasme…

Nous voici complémentaires, ma peau blanche soulignée par un fin dessous noir, encadré de la robe sombre ouverte. Et elle, strictement symétrique.

De plus en plus de monde nous regarde, alors que les deux brunes ont, elles, remonté leur jupe sur leurs reins afin de dévoiler de charmants shortys de dentelle rouge assortis.

Pour ne pas être en reste, j’attrape les deux clips des bretelles de la robe blanche d’Aminata et je les dégrafe de ses épaules tout en m’écartant d’elle légèrement. La robe s’enroule un instant autours des seins oblongs, s’entortille brièvement sur le postérieur proéminent et s’effondre en corolle blanche sur le parquet lustré. Du pied je l’écarte rapidement alors que ma compagne, à demi nue en public, se colle à moi plus que jamais.

Yeux dans les yeux, elle remonte ses mains et arrache mes bretelles en regardant ma robe tomber. Nous repartons seins contre seins (wahou !) dans un tango argentin sensuel à souhait, seulement vêtues de nos talons hauts et de nos minuscules strings. La rapidité des mouvements a du enfouir le fin tissu entre nos globes postérieurs opulents et nous devons apparaître comme totalement nues aux nouveaux arrivants !

Les deux brunes se sont également débarrassées de leur robe et commencent à s’embrasser goulûment en nous regardant avec envie.


Du coin de l’œil j’aperçois notre table, je m’en rapproche, bloque les jambes d’Aminata sur son bord et la bascule lentement sur le verre froid et poli. Son regard n’est plus apeuré, elle me regarde un instant et ferme les yeux en s’abandonnant.

Je monte à genoux sur la table, en prenant soin d’emmener avec moi et dans le mouvement ses cuisses, comme un homme qui voudrait la prendre en missionnaire. Je fais un signe de tête au DJ (il sait ce que je veux) et je plonge sur ses lèvres pulpeuses. Le baiser est appuyé, je sens qu’elle se lâche, l’ambiance et l’alcool aidant, nos langues s’enroulent, se caressent, s’explorent alors que nos seins se pressent et m’électrisent jusqu’au bas du ventre.

Une lumière jaillie sur nos postérieurs grâce au DJ. La foule s’est rapprochée pour mieux voir. Une fine bande de tissu noir cache tant bien que mal mon entrecuisse humide ainsi exposé.

La position d’Aminata ne lui laisse pas ce loisir, le tissu blanc plonge profondément dans son sexe et ressort très haut, compressant au passage le clitoris. L’excitation de ma compagne est sans doute visible. Ses petites lèvres brillantes et très écartées font saillie hors du sexe et dévoilent un peu le rosé du cœur de la vulve. La musique a baissé d’intensité et on entend maintenant les murmures de satisfaction la foule désormais toute proche.

  Je sais ce qu’elle veut.

D’un geste, je déchire les côtés du string de ma soumise. Le dentelle blanche, vaincue, glisse un instant sur la vulve sombre et glabre, s’attarde autours d’une petite lèvre trop humide qui colle un peu et tombe, trempée, sur le verre froid de la table.

Le rayon du projecteur s’amincit et se concentre sur cette vulve africaine offerte que tout le monde contemple. La chair rosée est maintenant parfaitement à nu. De petites excroissances de peau très clair entoure le puits d’amour largement ouvert par la position. Deux petites lèvres très longues et frisottées l’encadrent et déclinent un dégradé de couleurs du rose au noir. Elles se rejoignent au sommet du sexe en une délicieuse boursouflure de chair rouge vif, couronnée par un clitoris si rond et si gonflé qu’il paraît prêt à éclater.

 Sublime…

Nous nous embrassons toujours à pleine bouche et je sens de fins cheveux caresser mon postérieur, je relève un instant la tête vers le miroir qui me fait face et vois le charmant minois de nos deux challengers du concours de tango qui nous effleurent déjà. Je leur souris et replonge ma langue vers ma proie. Quand la première brune plaque sa bouche sur le sexe noir, je sens ma monture se cabrer un bref instant. On m’arrache mon petit string noir sans ménagement et la bouche de la seconde brune prend possession de mon intimité détrempée. Sa langue s’enfonce tout au fond de mon vagin, redescend vers mon clitoris, le contourne, le presse du dos de la langue, le titille de la pointe, replonge dans mon cratère en feu. Elle remonte ensuite plus haut vers mon petit trou, l’assouplit doucement, y plonge soudain sans pitié.. Et recommence.

Je suis au supplice. Aminata aussi, si j’en juge par ses ruades et ses gémissements que j’étouffe avec gourmandise de ma bouche insatiable.

Soudains nos souffles s’emballent, nos bouchent se détachent pour mieux capter l’air nécessaire à l’explosion qui se prépare. Nos sexes sont impitoyablement sucés, aspirés, tourmentés. Nos corps se cabrent, mes dents mordent ses lèvres alors qu’elle me griffe profondément les flancs des dix doigts.

De douleur et de plaisirs mêlés, JE CRIE, ELLE HURLE.


Et nous retombons joue contre joue. Moi, la blanche libertine qui a assouvi son vice, et ELLE, la noire colombe, la sage mère de famille, qui vient de goûter à la luxure.

 
 
 
 
 
Par Maxime - Publié dans : Récits érotiques
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