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Je m'intéresse à l'art sensuel à travers ses différentes productions artistiques.

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Vos récits

Mardi 2 septembre 2 02 /09 /Sep 16:22
J'ai le plaisir de vous dévoiler un texte écrit par l'un des lecteurs.
J'ai trouvé la situation affriolante et originale, et vous ???
Encouragez le à récidiver, avec vos commentaires !


Paris, printemps 1998.....divorcé depuis un an, je vivais et travaillais dans la capitale, et j'y papillonnais agréablement, aussi...J'avais connu Martine avec les petites annonces du Nouvel Obs, nous avions commencé à faire connaissance, fort classiquement, en prenant un pot deux ou trois fois, et elle m'avait dit un jour qu'à la cinquantaine, décidément, il y avait des choses que l'on faisait bien mieux que lorsque l'on a vingt ans...Les sous entendus de cette remarque m'avaient émoustillé, et, peu de temps après, nous nous montrions mutuellement que, oui, en effet, on fait l'amour bien mieux à cinquante ans qu'à vingt ans...

Mais je ne rédige pas ce texte dans le but de vous raconter mes papillonnages, mais pour évoquer la délicieuse sensation procurée par la main d'un homme remontant au dessus du bas...Un jour, une remarque de Martine me disant qu'elle aimait beaucoup mes caresses sur sa peau, entre bas et slip, me fit littéralement craquer et défaillir, car, pour un homme, il n'est justement rien de plus agréable que de remonter lentement la main le long du bas, de le faire crisser un peu, et de sentir là, près de la jarretelle, ce sublime espace de peau frémissante, entre la couronne du bas et le slip.......

(auteur ?)

 Or donc, et j'en reviens à Martine, je lui avais proposé un après midi de semaine ( nous avions tous les deux, dans nos métiers respectifs, des récupérations à prendre.....) de nous retrouver dans un cinéma de la rive gauche pour voir « Elisabeth », film anglais en costume et en version originale...C'est franchement tout ce dont je me souviens du film, parce que, une fois la projection commencée, et la salle plongée dans l'obscurité, j'entrepris de glisser ma main sous la jupe de Martine, qui savait que j'aimais qu'une femme ne soit pas en collants, et qui en conséquence avait mis des bas noirs...Oh, comme je prenais mon temps pour sentir sa chair vibrer sous mes doigts, tout en l'embrassant dans le cou...Mais ma main remontait lentement le long de sa cuisse gauche, et déjà j'atteignais la couronne du bas...Martine était  frémissante, et je caressai alors ce magnifique espace de peau évoqué plus haut...

(auteur ?)

Un jour, Pierre Desproges a dit : « Qu'est ce qui différencie l'homme de la bête ? Dieu...les portes jarretelles..... ». Comme il avait raison... Sourire...

Martine portait un slip noir, comme je les aime, fait de voile transparent et de dentelle, un slip qui rend une femme plus nue que si elle était réellement nue...Vous me comprenez?


Certaines femmes disent que, lorsque les hommes se rendent compte qu'elle porte des bas, ils deviennent trop pressés, impatients...Ce jour là, j'ai su modérer mon impatience, et j'ai pendant plusieurs minutes, massé doucement Martine par dessus le fin tissu de son slip, en soulignant sa fente, en effleurant sa toison.....Puis j'ai caressé son ventre, sous le nombril, et un doigt, puis deux, se sont glissés sous voile et dentelle....

Quand un homme caresse le sexe d'une femme, il peut être maladroit, reconnaissons le...La connaissance un peu approximative de l'anatomie intime de la femme fait que nous avons parfois une certaine difficulté à savoir caresser la source de son plaisir...Mais, ce jour là, j'étais assez inspiré, et j'ai poussé la sophistication jusqu'à coordonner, en quelque sorte, les mouvements de mes doigts et le mouvement de ma langue dans la bouche de Martine, car elle avait envie de ma bouche depuis longtemps déjà.....

La situation devenait tout à fait plaisante, mais au bout de quelques minutes j'ai eu envie d'ôter les quelques grammes de tissu que Martine portait...J'aurais pu, en lui demandant de se relever un peu, lui enlever le slip dans la salle, mais je n'ai pas osé le faire pour ne pas perturber les spectateurs présents...Aussi, à ma demande, Martine est sortie quelques instants pour aller l'enlever aux toilettes, puis est venue se rasseoir...Pour notre commodité à tous les deux, je l'ai invité, avant de se caler à côté de moi, à relever l'arrière de sa jupe, et ma main est revenue vers son intimité , mes doigts se sont faits explorateurs, mutins, exigeants, caressants...Martine était complètement trempée...

(auteur ?)

Nous avions disposé un manteau à ma droite, de manière à préserver notre intimité par rapport aux spectateurs les plus proches de nous...Martine en a donc profité, après avoir été longuement caressée, pour venir taquiner des doigts la colonne de chair dressée dont vous pouvez avoir un aperçu sur la photo jointe ; ce furent d'abord ses doigts, puis sa bouche. En effet, Martine savait aussi bien que moi combien il est agréable de caresser le sexe d'une personne du sexe opposé, mais combien il est ENCORE PLUS agréable de glisser les doigts dans le slip de la personne en question, pour créer, en quelque sorte, une marche supplémentaire dans l'ascension vers le plaisir... Et, ensuite, de faire glisser le slip de la manière la plus érotique possible... Avec les doigts, avec les dents, ou bien brutalement, comme s'il s'agissait d'une urgence...

(auteur?)

Ceci dit, caressé par Martine, je ne voulais pas aller jusqu'au jaillissement du plaisir, je me réservais pour la conclusion de ce jeu amoureux, ce qui eut lieu deux heures après, dans mon petit deux pièces du dix-septième arrondissement...

Pour des raisons diverses, les relations avec Martine s'espacèrent ensuite, et s'arrêtèrent au bout de quelques mois. Mais cet après midi là restera à jamais un grand souvenir.....

Christian

Par Zygomax - Publié dans : Vos récits
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Mercredi 18 juin 3 18 /06 /Juin 00:05
Cette histoire vécue se passe entre Août 1997 et Mai 1999.
Elle a été envoyée par un des lecteurs du blog : Jerôme.
Jérôme est Lyonnais d'adoption, 39 ans et natif de Toulouse. Ses lectures l'inspire à contribuer à la suite d'une "aventure" vécue en 1998 avec son ex-amie qui nourissait une intimité "profonde" avec son employeur de l'époque ...

Un soir de 15 Août 1997, un ami de l'époque, Laurent, passe me chercher afin que nous puissions aller danser dans une discothèque (des plus classiques) sur Lyon. Je me préparais en hâte, enfilant un pantalon à pinces de couleur sombre, une chemise rayée bleue et blanche, le tout, accompagné d'un blazer bleu marine à boutons dorés.
Nous arrivons sur le parvis de la discothèque, y entrâmes après avoir salué quelques unes de nos connaissances.

La soirée passa, et l'heure tournait sans qu'aucune rencontre féminine ne se produise.
Soudainement mon ami, qui s'était éclipsé sans que je m'en aperçoive (peut-être avais-je le regard fixé sur une fille (ou femme) se déhanchant au rythme de la musique ???), réapparut avec à ses côtés, deux belles filles, dont une sur laquelle mes yeux se sont tout de suite attardés : elle portait une robe couleur crème, en coton écru, tombant juste au dessus des genoux et portait des escarpins à talons couleur claire. Mon regard ne la lâchait pas et espérait que le sien le croiserait... En vain.
Puis mon ami vient me présenter ces 2 personnes : la plus petite (en taille) se prénomme Véronique ; sa comparse (celle que je dévorais du regard), Christine.
Nous nous installâmes tous les 4 confortablement dans les « divans » de la salle où les décibels de la musique nous empêchaient de communiquer en toute sérénité. Je vais passer sur cette « présentation », lorsque d'un coup d'un seul, je vis mon ami et Véronique s'embrasser « passionnément ». Avec Christine, nous restâmes côte à côte, à discuter tranquillement même si quelques arrières pensées me traversaient l'esprit.
Vers la fin de la soirée, Christine et Véronique décidèrent de quitter les lieux et nous par la même occasion : Véronique inscrivit sur un morceau de papier le N° de téléphone de Laurent et, chose étonnante, Christine en fît de même pour le mien (certainement pour « imiter » son amie ???). Je ne me fis pas prier et lui laissa donc volontiers. Au moment des « séparations », nous nous embrassions, avec dans un 1er temps, une bise au coin des lèvres, puis ensuite, quelques tours de langue bienvenus.

Nous nous revîmes de très nombreuses fois durant lesquelles, nous faisions l'amour n'importe où et à n'importe quel moment. Elle était sans emploi, donc, venait me chercher à la fin de mon travail (autant que je n'avais pas de réunion) et très souvent, nous nous isolions dans des endroits propices à l'évasion intime.

Un jour d'Août 1998, alors que nous fêtions notre 1er anniversaire de rencontre, Christine m'annonça avoir trouvé un emploi à temps complet après avoir eu plusieurs missions intérimaires en qualité d'Assistante de Direction (sa formation). Tout en fêtant alors ce double « anniversaire », elle me raconta que son nouvel emploi consisterait à aider son nouvel employeur (Mr Marc D.) à « monter » une nouvelle structure car la société n'était pas encore créée. Il fallait donc tout mettre en place et ainsi s'investir « à fond » dans cette nouvelle société : le challenge était très intéressant pour elle mais aussi pour moi car je souhaitais très sincèrement sa réussite.
Plusieurs de leurs réunions eurent lieu chez moi soit, en ma présence, soit en mon absence. Lors d'une de ces réunions, j'eus le loisir de rencontrer (enfin !!!) le futur nouvel employeur de Christine. Le moins que je puisse dire, c'est que j'ai été surpris de les entendre se tutoyer, de les voir assis tous les 2, à même le sol, face à face, Christine avec une jupe longue grise « découpée » du bas jusqu'aux genoux (style lambeaux), ses jolies longues jambes recroquevillées sur son buste : ainsi, dans cette position, son futur nouvel employeur ne pouvait qu'admirer les brides du porte-jarretelles maintenant des bas noirs (alors que nous étions en été !!!) qui venaient gainer les jambes de Christine. Et je pus le vérifier d'autant plus facilement, que je passais derrière Mr Marc D. pour, moi aussi, ne rien louper de ce charmant spectacle.
Un moment donné, profitant du passage dans la cuisine de Christine pour qu'elle puisse servir une tasse de café à Mr D., je lui demandai de faire un peu plus attention à sa position quand elle était assise car nous avions un très joli panorama : elle sortit de la cuisine en haussant les épaules et sans « rougir » de ma remarque. A ce moment, je pris conscience que ce nouvel emploi déboucherait, tôt ou tard, sur une relation pas seulement professionnelle. Il faut aussi dire que Mr Marc D. a un charisme énorme, une toute petite quarantaine (39 ans) à l'époque (Christine avait 30 ans et moi 29), un grand brun avec une très légère calvitie naissante, un brin de malice dans son regard, un prestance indéniable, le tout, sans avoir un physique de « play-boy ». C'est le genre d'hommes qu'une femme remarque tout de même, car en plus, Mr Marc D. était loin d'être « sot ».
Leur réunion du jour s'achevant, ils conviennent alors de se retrouver le lendemain dans une brasserie avant d'aller visiter les futurs locaux dont Mr Marc D. avait hâte d'en prendre possession afin de faire la mise en place de sa société le plus rapidement possible.
Quelques semaines passaient : la société créée juridiquement, les locaux fraîchement rénovés, le mobilier installé, 2 autres personnes « mâles » recrutées pour le commercial-terrain, Christine en qualité d'assistante de direction et Mr Marc D.
Mon travail me prenait beaucoup de mon temps ce qui ne m'empêchait pas de penser à Christine très souvent seule avec son boss dans les locaux durant les journées.
Force était de constater que mon sexe ne restait pas insensible à mes pensées : que pouvaient-ils faire lorsqu'ils étaient seuls tous les 2, que pouvaient-ils se dire, quel était le comportement de Christine lorsqu'elle était à son bureau entrain de taper au clavier un rapport dicté par son boss, etc ... ???
C'était d'autant plus facile d'imaginer Christine en ces moments car je la contemplais le matin en s'habillant : la plupart du temps, en tailleur jupe arrivant aux genoux, parfois jambes nues, d'autres fois avec des bas, toujours avec un string ou un cache-sexe, toujours des très élégants escarpins. Le rêve de tout boss d'avoir une assistante de ce « calibre ».

Le soir venu, avant de dîner, en buvant un apéritif, nous bavardions de chose et d'autres mais la plupart du temps, mes questions s'orientaient plutôt sur sa journée de travail (si ils avaient eu du monde dans les locaux, si Mr Marc D. lui demandait de venir le voir dans son bureau, lui demandait d'aller acheter certaines petites fournitures occasionnelles, etc ...) : les réponses de Christine étaient en ce sens, assez évasives et jamais très claires. Le doute me gagnait de plus en plus. De très agréables sensations gagnaient, dans ces moments là, l'intérieur de mon caleçon : je devenais cérébral tout en imaginant ma « chérie » séduite par un autre homme.
Donc, pendant une semaine environ, je mijotais un « plan » afin d'éventuellement les surprendre en fin d'après-midi ou en tout début de soirée (car il arrivait à Christine de rester de + en + souvent tard, pour des, soi-disant, surcroîts de travail : ce que je comprenais lorsqu'une société démarre) pour estomper mes doutes et en même temps avoir le cœur net sur cette situation « bizarre ».
Durant cette semaine, je délaissais quelque peu mon travail pour partir en repérage sur le lieu de travail de Christine : un immeuble nouveau de 5 étages occupé essentiellement par des bureaux, une porte d'entrée (sans code) automatique qui, après 20 heures, s'ouvrait uniquement à l'aide de la clé (renseignements pris auprès de Christine lors d'une de mes questions), 2 parkings en sous-sol, 1 ascenseur, 1 escalier de service, et surtout un escalier extérieur de secours vers lequel on accédait en tirant (assez fortement) vers l'intérieur.
Tous ces repérages effectués (à l'insu de Christine), j'attendais le jour où je « sentais », ou devinais, grâce à la tenue vestimentaire de Christine, que ce serait le bon jour pour les surprendre.
Ce jour arriva : un jour de Décembre 1998 (vers mi-décembre).
Ce matin-là, je remarquai que Christine prit particulièrement soin de sa toilette vestimentaire : des bas noirs, une robe sexy noire en jersey moulant avec un croisillon de ruban noir sur la poitrine, façon corset, cheveux relevés en chignon, une touche de maquillage et des jolis escarpins noirs. Elle était prête et nous partions récupérer nos véhicules respectifs pour aller chacun à notre travail.
De mon côté, la journée fut plutôt « longue » mais, je sortis tôt du travail pour aller « espionner » Christine.
Arrivé à destination, je garai ma voiture assez loin de l'entrée de l'immeuble, pénétrai dans le hall, empruntait l'escalier de service pour m'élever au 3ème étage où se trouvait les locaux. Je m'avançai sur la pointe des pieds vers la porte d'entrée des bureaux : j'entendis Christine répondre au téléphone : ma main gauche dans la poche de mon pantalon tâtait vivement mon gland et mon sexe durcit subitement au son de sa voix. J'étais donc, maintenant sûr et certain de la présence de Christine dans les locaux.
Je rebroussai chemin pour accéder par l'escalier extérieur (de secours) au 3ème étage car de ce « poste », je verrai clairement et nettement Christine à son bureau et aurai une vue d'ensemble sur la totalité des locaux y compris le bureau de son boss. Arrivé au rez-de-chaussée de l'immeuble, dans le hall, je croisai un « occupant » (peut-être un employé d'une autre société installée dans l'immeuble) avec lequel nous échangions un bref « bonjour Monsieur »...
Par chance, l'ascenseur était déjà à sa disposition, ce qui me permit d'accéder à l'escalier extérieur très rapidement. Je montai très discrètement les 3 étages dans la pénombre de ce jour de Décembre. Arrivé enfin à l'étage voulu, je me positionnai accroupis sur l'avant-dernière marche de l'escalier en prenant bien garde de ne pas faire trop dépasser ma tête afin de ne pas être vu par la « porte-fenêtre » vitrée. De cet endroit, je contemplai Christine, confortablement installée dans un fauteuil à dossier bas, ses jambes croisées qui n'en finissaient pas de s'agiter : ce spectacle m'excitait méchamment.
Soudain, son boss apparût avec un dossier sous le bras : n'entendant pas ce qu'il lui disait, il se dirigeait derrière Christine, posa son dossier sur son bureau en passant par-dessus l' épaule droite de Christine. Elle eut un sursaut qui indiqua clairement qu'elle n'attendait pas la présence de son boss à ce moment. La connaissant, je fixai mon regard sur ses jambes : aussi discrètement que possible, elle tenta de baisser sa robe qui avait légèrement remonté quand elle était assise en plus de ses mouvements de jambes.
Mr Marc D. s'était légèrement décalé sur le côté droit de Christine, sa main gauche (tiens lui aussi !!!) dans sa poche. Puis il s'approcha un peu plus près et commençait à se frotter sur le fauteuil de Christine : je suppose qu'elle devait « sentir » son fauteuil légèrement bougé. Sa main ressortit de son pantalon pour se poser sur l'épaule de Christine, puis l'autre main. Il s'inclina ensuite pour l'embrasser sur la nuque, la pétrir de ses mains : ses mains partout sur le corps de Christine ne la lâchaient pas, ni ses lèvres. Elle ne tapait plus sur son clavier. Il passa ses 2 mains sous les aisselles de Christine : elle se leva en lui tournant le dos. Il continua à la malaxer de partout en prenant soin de relever délicatement la robe noire enfilée le matin même. Ses bas, caressés par son boss, apparaissaient : j'en fus sidéré. Christine ne réagissait pas, se laissait faire. A ce moment, je savais que ce ne serait pas Christine la « future mère de mes enfants » (si je devais en avoir)...Peu m'importait tant ce spectacle était agréable d'autant plus excitant qu'en même temps, je repensais aux excellents moments passés avec Christine.
Sa robe relevée jusqu'aux hanches me permettait de deviner son cache-sexe car pour le moment je ne le voyais pas : son boss était devant Christine tout en se frottant de plus en plus fort et fréquemment sur le derrière de Christine. Puis, elle se retourna vers son patron mais amant. Une de ses mains caressait le corps habillé de son amant, descendait en direction de son sexe et s'y attardait. Elle le libéra, le prit fermement en main, commença à le masturber vivement. Comme si un doute les gagnait, ils se décalèrent légèrement de côté : j'avais donc à cet instant, une « vue de profil » : terriblement excitant d'apercevoir la main de ma chérie sur le sexe tendu et raidi de son amant. Plus que cette situation, c'était le fait que Christine n'imaginait pas une seconde que je voyais tout...
Une pression des mains de son boss sur ses épaules fit comprendre à Christine qu'il voulait autre chose.
Elle s'inclina en descendant lentement le long du corps de son boss, sa robe relevée sur ses hanches, ses bas parfaitement ajustés, perchée sur ses talons (pas très hauts).
Arrivée à la hauteur voulue, sa bouche s'approcha délicatement de ce sexe érigé et commença à le happer en faisant des va-et-vient buccaux. Les mains de son boss, placées sur la tête de Christine, la guidaient dans son mouvement. Une de mains de Christine caressait les couilles (poilues, beurk) de son boss. Au bout de quelques (longues) minutes, le rythme buccal de Christine s'accélérant, Mr Marc D. leva la tête au plafond, en fermant les yeux : je supposais sa jouissance en bouche de Christine. Puis il rebaissa la tête pour regarder Christine qui gobait toujours le sexe de son boss. Ayant fait les « choses » très proprement, la main de Christine prenait ensuite le relais. Au bout de 5 minutes environ, Christine se relevait, réajustait sa robe. Son boss lui adressa une bise sur sa chevelure, puis lui caressa les fesses recouvertes de sa robe noire.
Je restais à mon poste de surveillance.
Après quelques mots échangés entre eux, ils disparaissaient vers un lavabo enfermé dans une petite pièce de laquelle ils ressortirent quasiment aussitôt. Ils parlèrent quelques minutes et comme si rien ne s'était passé, ils se dirent au revoir en se faisant la bise et en éteignant les lumières des locaux.
J'attendis quelques minutes avant de redescendre et regagner mon véhicule.
En rentrant pour aller retrouver Christine à l'appartement, je me branlai dans ma voiture en roulant en repensant à la scène. Je m'arrêtai ensuite dans un bar pour y ingurgiter une bière pression qui me fit le plus grand bien.
Arrivé chez moi, je m'enquis de la journée de Christine, sur son activité, en prenant soin de lui demander des nouvelles de son boss.
Lui posant toujours plus de questions, sans obtenir de réponses, nous nous séparions quelques mois plus tard, pour diverses raisons et aussi pour des raisons professionnelles.
Mais je mentirais, si je disais que je ne me suis jamais branlé en repensant à cette scène, en imaginant bien évidemment, qu'il y a dû en avoir d'autres.

Je ne le saurai jamais, à moins que Mr Marc D. lise ce blog et se reconnaisse, ou qu'un autre boss ait vécu des sensations similaires.

Belle histoire non ?!

Vous pouvez contacter Jerôme ici : amatliber@yahoo.fr


Par Zygomax - Publié dans : Vos récits
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